mercredi 14 janvier 2015

Projet Ludivine / Élise – phrases 15-32

¿Sí? ¿Qué desea?
Señor Pinó, ¿no se acuerda de mí? Soy yo.
El hombre se ajustó las gafas y puso más atención. La sorpresa y un gesto reflejo ante lo inesperado asomaron a sus ojos.
¿Roberto? No puedo creerlo. ¿De verdad eres tú?
Se levantó con dificultad para abrazar al chico. Para él siempre sería un chico.
Qué mayor estás. Todo un hombre…
¿Cómo va todo por aquí?
Como siempre. No hay mucho que contar. Voy tirando. Muchacho, me alegro tanto de verte.

Traduction temporaire :

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression perplexe face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

25 commentaires:

Unknown a dit…

—Oui ? Que désirez-vous ?
—Monsieur Pinó, vous ne vous rappelez pas de moi ? C'est moi!
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un geste inconscient face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
—Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer l'enfant dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un enfant.
—Qu'est ce que tu es grand ! Un vrai homme...
—Comment vont les choses ici ?
—Comme toujours. Il n'y a pas grand chose à dire. Je me détruis peu à peu. Garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

—[espace après les tirets // je vous laisse les rétablir tous]Oui ? Que désirez-vous ?
—Monsieur Pinó, vous ne vous rappelez pas de [se rappeler quelque chose ; pas DE quelque chose] moi ? C'est moi[espace]!
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un geste [sens un de « gesto », pas « geste »… d'autant que comme ici, on parle des yeux…] inconscient face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
—Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer l'enfant [un enfant ou un jeune homme ? Perso, je ne me souviens plus du détail ; à vous de me dire…] dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un enfant.
—Qu'est ce que tu es grand ! Un vrai homme... [le raccourci clavier des points de suspension]
—Comment vont les choses ici [le sens y est, mais le diriez spontanément en français ?] ?
—Comme toujours. Il n'y a [nécessaire ? Comme vous voulez] pas grand chose [tiret entre les deux] à dire. Je me détruis peu à peu [CS]. Garçon [naturel ? Ajoutez un possessif], je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ? 
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un mouvement inconscient face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux. 
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un jeune homme. 
— Qu'est ce que tu es grand ! Un vrai homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un mouvement inconscient face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux [il y a un mouvement dans ses yeux ???? Je répète « gesto » ne veut pas dire que geste et mouvement. Ouvrez le dico].
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un jeune homme [ou cette fois, on peut « gamin » ? Comme vous voulez… simple suggestion].
— Qu'est ce [tiret] que tu es grand ! Un vrai homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ? 
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un air inconscient face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un vrai homme…
— Comment ça va ici ? 
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un air inconscient [bizarre ; pourquoi « inconscient » ? Avez-vous bien regardé les définition dans le dico unilingue, DRAE, etc. ?] face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un vrai [nécessaire, au fait ?] homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un air réflexif face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et un air réflexif [pas un peu compliqué et bizarre… // Bref, tout ça pour dire qu'il réfléchit ;-)] face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et son air songeur face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et son [sans possessif puisqu'après, on a « ses yeux »] air [« air » ou « expression » ?] songeur face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et l'expression songeuse face à l'inattendu sont apparus dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et l'expression songeuse face à l'inattendu sont apparus [grammaire, du coup] dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et l'expression songeuse face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et l'[« une »] expression songeuse face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression songeuse face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression songeuse [« perplexe » ?] face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression songeuse [je préfère laisser songeuse] face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression songeuse [je préfère laisser songeuse // sauf qu'à mon avis, ça n'est pas vraiment l'idée… Là, il réfléchit pour retrouver l'autre dans sa mémoire] face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression [perplexe, méditative] face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression [perplexe, méditative // OK pour perplexe (je crois d'ailleurs l'avoir proposé, mais peu importe) ; Elise ?] face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Unknown a dit…

J'ai remis "perplexe" que vous aviez proposé mais je voulais proposer autre chose pour avoir votre avis. Mais perplexe me convient.

Unknown a dit…

Perplexe me va aussi.

Tradabordo a dit…

Il faut me remettre la dernière version correcte – je répète : le but est que je n'ai plus qu'à faire un copier/coller en fin de discussion, pas que je remonte en arrière pour chercher, nettoyer, etc.

Unknown a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression perplexe face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

Tradabordo a dit…

— Oui ? Que désirez-vous ?
— Monsieur Pinó, vous ne vous souvenez pas de moi ? C'est moi !
L'homme a ajusté ses lunettes et a fait plus attention. La surprise et une expression perplexe face à l'inattendu sont apparues dans ses yeux.
— Roberto ? Je ne peux pas le croire. Vraiment ? C'est toi ?
Il s'est levé avec difficulté pour serrer le jeune homme dans ses bras. Pour lui, il serait toujours un gamin.
— Qu'est ce-que tu es grand ! Un homme…
— Comment ça va ici ?
— Comme toujours. Pas grand-chose à dire. Je fais aller. Mon garçon, je suis si heureux de te voir.

OK.