García Márquez empezó a comprender que la realidad era a la vez bastante más compleja y bastante más simple de lo que él suponía. Por primera vez en su existencia (que ahora era inexistencia), el escritor pensó que quizá nada bueno había sido hecho por él en su vida, y semejante idea lo aturdió. El hombre perfecto frente a él sonrió como si hubiera leído su mente.
Traduction temporaire :
García Márquez comprit alors que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea qu'il n'avait peut-être jamais rien accompli de bon par lui-même dans sa vie et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez comprit alors que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea qu'il n'avait peut-être jamais rien accompli de bon par lui-même dans sa vie et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
6 commentaires:
García Márquez se mit à comprendre que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain pensa que peut-être rien de bon n'avait été accompli de son fait dans sa vie, et une telle idée l'étourdit. L'homme parfait, face à lui, sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez se mit à comprendre que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain pensa que peut-être rien de bon n'avait été accompli de son fait dans sa vie [à partir du « que », ça manque de fluidité], et une telle idée l'étourdit. L'homme parfait [après ?], face à lui, sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez se mit à comprendre que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea que, peut-être, rien de bon n'avait été accompli par lui dans sa vie, et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez se mit à [nécessaire ?] comprendre que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea que, peut-être, rien de bon n'avait été accompli par lui dans sa vie [fluidifie], et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez comprit alors que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea qu'il n'avait peut-être jamais rien accompli de bon par lui-même dans sa vie et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
García Márquez comprit alors que la réalité était à la fois un peu plus complexe et un peu plus simple que ce qu'il avait supposé. Pour la première fois de son existence (désormais inexistence), l'écrivain songea qu'il n'avait peut-être jamais rien accompli de bon par lui-même dans sa vie et une telle idée l'étourdit. Face à lui, l'homme parfait sourit comme s'il avait lu dans ses pensées.
OK.
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