Eso ni lo dudes, Silvina, te amo con locura mi princesita hispanoincaica, le contestaba. En silencio la admiraba, sentía cómo la amaba, claro, y me prometía amarla siempre, siempre. Entonces ella, suspirando profundamente, soñaba con ser Malena.
Nunca me gustó jugar a la gallinita ciega, pero desde que conocí a Malena me encierro en mi habitación, me vendo los ojos y gozo penetrando en esa mansión oscura, en ese vacío insondable.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
19 commentaires:
N’en doutes pas, Silvina, je t’aime à la folie ma petite princesse espagnole, lui répondais-je. Je l’admirais en silence, je sentais comme je l’aimais, clairement, et je me suis promis de l’aimer pour toujours, toujours. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
Ça ne m'a jamais plu de jouer à la poulette aveugle, mais depuis que je connaissais Malena je me suis enfermé dans ma chambre, je me bande les yeux et j’apprécie le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
N’en doutes [grammaire] pas, Silvina, je t’aime à la folie [virgule] ma petite princesse espagnole [pas du tout ce qu'il dit !], lui répondais-je. Je l’admirais en silence, je sentais comme [« à quel point » ?] je l’aimais, clairement [CS ? Est-ce que ça porte sur la manière de l'aimer ?], et je me suis promis de l’aimer pour toujours, toujours [« pour toujours et à jamais » ?]. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
On va déjà faire ça…
Ça ne m'a jamais plu de jouer à la poulette aveugle, mais depuis que je connaissais Malena je me suis enfermé dans ma chambre, je me bande les yeux et j’apprécie le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
N’en doutes même pas, Silvina, je t’aime à la folie, ma petite princesse espagnole latine, lui répondais-je. Je l’admirais clairement en silence, je sentais à quel point je l’aimais, et je me promettais de l’aimer pour toujours et à jamais. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
Ça ne m'a jamais plu de jouer à colin-maillard, mais depuis que j'ai connu Malena je m'enferme dans ma chambre, je me bande les yeux et j’apprécie le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Céleste, il faut que vous teniez compte de ce que j'ai dit à Marine sur sa proposition.
N’en doutes surtout pas, Silvina, je t’aime à la folie, ma petite princesse hispano-inca, lui répondais-je. Je l’admirais en silence, je sentais à quel point je l’aimais, et je me promettais de l’aimer pour toujours et à jamais. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
DONC :
Pour « n'en doutes », j'ai mis dans mon premier commentaire qu'il y avait une faute de grammaire. Merci à l'une et l'autre d'en tenir compte un jour.
N’en doute surtout pas, Silvina, je t’aime à la folie, ma petite princesse hispano-inca, lui répondais-je. Je l’admirais en silence, je sentais à quel point je l’aimais, et je me promettais de l’aimer pour toujours et à jamais. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
Oooh, miracle, le problème de grammaire est réglé ;-))))))
N’en doute surtout pas, Silvina, je t’aime à la folie, ma petite princesse hispano-inca, lui répondais-je. Je l’admirais en silence, je sentais à quel point je l’aimais, et je me promettais de l’aimer pour toujours et à jamais. Alors qu’elle, soupirant profondément, rêvait d’être Malena.
OK.
Céleste ?
Merci du tuyau ! Et pour le second paragraphe c'est bon aussi?
Zut… Je l'avais complètement oublié. Remettez-le-moi, svp.
Ça ne m'a jamais plu de jouer à collamallard, mais depuis que je connaissais Malena je me suis enfermé dans ma chambre, je me bande les yeux et j’apprécie le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Ça ne m'a jamais plu de jouer à collamallard [« colin-maillard » ?], mais depuis que je connaissais [temps ; le passé simple ne se traduit pas par de l'imparfait] Malena je me suis enfermé [temps] dans ma chambre, je me bande les yeux et j’apprécie [pas plus fort ?] le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Jouer à colin-maillard ne m'a jamais plu, [pour éviter de commencer la phrase par "ça"] mais depuis que j'avais connu Malena je m'étais enfermé dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Jouer à colin-maillard ne m'a jamais plu, mais depuis que j'avais connu Malena je m'étais enfermé [là, on a un pb ; ça passe au présent, mais on ne peut pas l'associer au PQP du verbe d'avant (entre parenthèses bon choix) ; solution : vous neutralisez le premier verbe… et vous mettez un substantif à la place] dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Le jeu du colin-maillard ne m'a jamais plu, mais depuis que j'avais connu Malena, je m'étais enfermé dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Le jeu du [« du » ou « de », au fait ? Regardez les occurrences] colin-maillard ne m'a jamais plu, mais depuis que j'avais connu [non, c'est là que vous devez remplacer le verbe par un substantif] Malena, je m'étais enfermé [là, ça ne peut être que du présent] dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Ok pour le premier paragraphe.
Le jeu de colin-maillard ne m'a jamais plu, mais depuis ma rencontre avec Malena, je m'enferme dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
Le jeu de colin-maillard ne m'a jamais plu, mais depuis ma rencontre avec Malena, je m'enferme dans ma chambre, je me bande les yeux et je savoure le fait de pénétrer dans cette demeure obscure, dans ce vide insondable.
OK.
Marine ?
Ça me va !
PS : ne mettez pas la suite, elle est déjà sur le blog.
La suite est ici : http://tradabordo.blogspot.fr/2015/01/projet-marine-celeste-phrases-9-15.html
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