Kalton Harold Bruhl (Honduras)
LA CARTA
Cuando regresé a mi aldea aquel invierno, traía solamente dos cosas: una herida en la pierna y una carta oficial para la viuda Fournier. Me dirigí a su casa, caminando despacio, pensando que cualquiera podría leer la ansiedad y la tristeza que me abrumaban, por el trazo de mis huellas sobre la nieve.
Traduction temporaire :
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu deviner l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu deviner l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
8 commentaires:
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, j'apportais uniquement deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeais chez elle marchant lentement, en me disant que n'importe qui aurait pu lire en moi l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient, au vu de mes traces sur la neige.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, j'apportais uniquement deux choses [à partir du verbe, ça manque de naturel] : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeais [temps] [manque un mot ici] chez elle [virgule] marchant lentement, en me disant que n'importe qui [?] aurait pu lire en moi l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient, au vu de mes traces sur la neige [remonte-le // ça devrait remplacer ton « en moi »].
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu lire l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu lire [« deviner » ? Comme tu préfères] l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu constater l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Et comme cela ?
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu constater l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Non : soit tu mets lire soit deviner.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu deviner l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
La lettre
De retour dans mon village, cet hiver-là, je n'apportais que deux choses : une blessure à la jambe et une lettre officielle adressée à la veuve Fournier. Je me dirigeai vers chez elle, marchant lentement, en me disant qu'au vu de mes traces sur la neige, n'importe quelle personne aurait pu deviner l'anxiété et la tristesse qui m'accablaient.
OK.
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