Kalton Harold Bruhl (Honduras)
ENTRE LA NIEBLA
Aquella tarde, mientras conversaba con Marcelo, el más viejo de mis compañeros de trabajo, logré ver entre la niebla un resplandor intermitente. Lo único que podía determinar era que se dirigía hacia el astillero. Al definirse las formas, mi expectación se transformó en asombro. Era un enorme buque de tres mástiles. Sus velas raídas denotaban que habían soportado, quizás durante siglos, las incontenibles ráfagas del tiempo.
Interrogué a Marcelo, desconcertado.
“Es un barco fantasma –respondió–. Hacía años que no lo veía. No imagino por qué ha vuelto”.
Comenté asustado que debía tratarse de un presagio. Algo terrible estaba a punto de ocurrir.
“No lo creo –me corrigió, sin darle ninguna importancia–. Sólo debe ser que el océano está recordando”.
Traduction temporaire :
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Je pouvais seulement déterminer qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré les incontrôlables rafales du temps, peut-être pendant des siècles. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. C'estun vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
16 commentaires:
Kalton Harold Bruhl
(Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgée de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir dans la brume une lueur intermittente. Je pouvais uniquement déterminer qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses formes furent plus définies, mon expectation se transforma en stupéfaction. C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgée [grammaire] de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir dans la brume [à la fin] une lueur intermittente. Je pouvais uniquement déterminer [gros manque de naturel] qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses formes [« cpntours »] furent plus définies [« nets »], mon expectation [mal dit] se transforma [« mua »] en stupéfaction.
Bon, fais déjà ça.
C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais préciser, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, mon expectation mua en stupéfaction.
Bon, fais déjà ça.
C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais préciser [il ne faut pas le traduire comme ça, parce que « determinar » ici n'a pas le sens français de préciser // garde le même verbe ; c'est le reste qu'il faut aménager], c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, mon expectation [non] [« se »] mua en stupéfaction.
Bon, fais déjà ça.
C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, mon intérêt se mua en stupéfaction.
Bon, fais déjà ça.
C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
J'ai trouvé que "espectación" et "expectation" ont le même sens...
Oui, je sais, mais vraiment pas du tout naturel en français – à la différence de l'espagnol. Je l'ai eu à plusieurs reprises dans un roman que je viens de finir de traduire et c'était une vraie galère.
Ici, est-ce qu'il ne vaut mieux quelque chose comme attente ? Regarde ce que dit le dico des synonymes.
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction.
Bon, fais déjà ça.
C'était un énorme bateau à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient qu'elles avaient supporté, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un pressage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en accorder la moindre importance. C'est sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. [« Tout »] Ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. C'était [tu en as déjà un plus haut ; « c'est » et « c'était » = facilité de traduction… À utiliser avec modération] un énorme bateau [« navire » ?] à trois mats. Ses voiles élimées dénotaient [mal dit] qu'elles avaient supporté [« enduré »], peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un bateau [ça n'est pas ce mot qu'on utilise en français] fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Je lui fis la réflexion [et : « asustado » ?] qu'il s'agissait certainement d'un press[orthographe]age. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans en [incorrect] accorder la moindre importance. C'est [X3] sûrement l'océan en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré, peut-être pendant des siècles, les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré, peut-être pendant des siècles [je me demande si ce ne serait pas mieux à la fin… Essaie et tranche], les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est [tu as déjà « C'était » avant // je ne t'en autorise qu'un seul dans cette section ; je répète : c'est une facilité de traduction…] un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans [manque quelque chose ici] accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré, peut-être pendant des siècles [je me demande si ce ne serait pas mieux à la fin… Essaie et tranche], les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est [tu as déjà « Un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Supprime mes commentaires quand tu corriges. Autant que le ménage soit fait +tu n'as pas tenu compte de tout…
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré, peut-être pendant des siècles [je me demande si ce ne serait pas mieux à la fin… Essaie et tranche], les incontrôlables rafales du temps. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « C'est [tu as déjà « Un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
C'est parti trop vite encore une fois, j'ai un souci avec Blogger en ce moment...
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré les incontrôlables rafales du temps, peut-être pendant des siècles. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « Un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Tout ce que je pouvais déterminer, c'était qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré les incontrôlables rafales du temps, peut-être pendant des siècles. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. « [« C'est » est indispensable ici ; donc, il faut changer le « c'était » d'en haut] Un vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Je pouvais seulement déterminer qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré les incontrôlables rafales du temps, peut-être pendant des siècles. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. C'estun vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
Kalton Harold Bruhl (Honduras)
Dans la brume
Ce soir-là, tandis que je discutais avec Marcelo, le plus âgé de mes collègues de travail, je réussis à apercevoir une lueur intermittente dans la brume. Je pouvais seulement déterminer qu'elle se dirigeait vers le chantier naval. Quand ses contours furent plus nets, ma curiosité se mua en stupéfaction. Un énorme navire à trois mats. Ses voiles élimées révélaient qu'elles avaient enduré les incontrôlables rafales du temps, peut-être pendant des siècles. Déconcerté, j’interrogeai Marcelo. C'estun vaisseau fantôme, répondit-il. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. J'ignore pourquoi il est de retour. » Effrayé, je lui fis la réflexion qu'il s'agissait certainement d'un présage. Quelque chose de terrible était sur le point de se produire.
« Je n'y crois pas, me reprit-il, sans m'accorder la moindre importance. L'océan est sûrement en train de ressasser ses souvenirs. »
OK.
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