A coro le deseamos lo mejor para la panza, nos estamos viendo en marzo, dice. El marinero le extiende una mano firme, e Itatí estira la pierna divertidamente. La lancha se separa del muelle y seguimos viéndola por la ventana; ya está distraída en cualquier cosa. Con Itatí se va un poco de nosotras, de las que fuimos en este día. La vida sigue, dentro de ella.
Traduction temporaire :
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí avance cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí avance cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
10 commentaires:
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse, on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí étend le pied cocassement. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. Avec Itatí, part un peu de chacune de nous, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse, [point-virgule ?] on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí étend [« tend » ?] le pied cocassement [bof ; ou alors placé avant]. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. Avec Itatí, part un peu de chacune de nous [manque de fluidité dans ce début], de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí tend cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. Part alors avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí tend cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. Part alors [« S'en va » + pourquoi ce « alors » ?] avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí tend cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí tend [ah zut, je n'avais pas vu ; tu l'as deux fois dans la même phrase] cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous continuons [tu l'as à la fin] de la regarder par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí étend cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí étend [bof, assez pauvre, comme solution « tend » + « étend »] cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí avance cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
Toutes en chœur, nous lui souhaitons ce qu'il y a de mieux pour sa grossesse ; on se voit en mars, dit-elle. Le marin lui tend une main ferme, et Itatí avance cocassement le pied. La chaloupe s'éloigne de la rive et nous la suivons du regard par la fenêtre ; elle se distrait déjà avec n'importe quoi. S'en va avec Itatí un peu de nous-même, de celles que nous avons été en ce jour. La vie continue, en elle.
OK.
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