Me levanto de la cama, le doy la espalda. Celine me observa, siento sus ojos golpeándome hasta que dejo la habitación y cierro la puerta. Prefiero no regresar, camino por ese pasillo que otras veces funcionó como si fuese el de mi casa. La puerta de la habitación de Didier está entreabierta, entro. La cama está tendida, los zapatos en el clóset, mi abrigo entre los suyos. Pienso en la cercanía, en que hay algo que se me escapa pese a ser tan cercanos.
Traduction temporaire :
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
6 commentaires:
Annelise L
Je me lève du lit, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner de coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas y retourner, je traverse ce même couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est bordé, les chaussures dans le placard, mon manteau parmi les siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe même en étant si proches.
Je me lève du lit [nécessaire ? J'hésite… d'autant que tu en as un autre plus loin], lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner de [« des » ou « rouer DE coups »] coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas y retourner, [point ?] je traverse ce même [nécessaire ?] couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est bordé [mal dit ?], les [possessif ?] chaussures dans le placard, mon manteau parmi [bof] les siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe même en étant [« alors que »] si proches.
Annelise L
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte [cheville : « derrière moi » ou inutile ? Comme tu veux…]. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
Annelise L
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
Je me lève, lui tourne le dos. Celine m'observe, je sens ses yeux m'asséner des coups, jusqu'à ce que je quitte la chambre et referme la porte. Je préfère ne pas faire demi-tour. Je traverse ce couloir qu'autrefois j'empruntais comme si c'était chez moi. La porte de la chambre de Didier est entrouverte, j'entre. Le lit est fait, ses chaussures dans le placard, mon manteau au milieu des siens. Je réfléchis à la proximité, au fait que quelque chose m'échappe alors que nous sommes si proches.
OK.
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