samedi 14 mars 2015

Projet Caroline 2 – phrases 222-229

En medio de la multitud Mammón intentaba localizar a su maestro en la distancia, envuelto entre la cohorte de demonios que casi siempre solía acompañarle. Con no pocas dificultades logró abrirse paso hasta él.
¿Dónde estabas? No te he visto en todo el día —dijo Satanás en voz alta para que su voz se dejara oír entre el gentío—. Siempre hay un sabor agridulce en toda despedida, ¿verdad?
Así es —respondió Mammón—. Y tú, ¿cuándo te marchas?
La expresión risueña de Lucifer cambió ligeramente ante la pregunta, mezclándose con cierta sorpresa.

Traduction temporaire :
Perdu dans la foule, Mammón essayait de repérer son maître, au loin, entouré de la cohorte de démons qui l'accompagnait presque sans cesse. Non sans difficulté, il parvint à se frayer un chemin jusqu'à lui.
— Où étais-tu ? Je ne t'ai pas vu de toute la journée, dit Satan, d'une voix assez forte pour dominer le fracas de l'attroupement. Les adieux ont toujours une saveur aigre-douce, n'est-ce pas ?
— C'est vrai, répondit Mammón. Et toi, quand pars-tu ?

À cette question, le sourire de Lucifer s'effaça légèrement pour se mêler d'une certaine surprise.

4 commentaires:

Caroline a dit…

Perdu dans la foule, Mammón essayait de repérer son maître au loin, entouré de la cohorte de démons qui l'accompagnait presque sans cesse. Non sans difficulté, il parvint à se frayer un chemin jusqu'à lui.
— Où étais-tu ? Je ne t'ai pas vu de toute la journée, dit Satan, d'une voix assez forte pour dominer celles de l'attroupement. Les adieux ont toujours une saveur aigre-douce, n'est-ce pas ?
— C'est vrai, répondit Mammón. Et toi, quand pars-tu ?
À cette question, le sourire de Lucifer s'altéra légèrement pour se teinter d'une certaine surprise.

Tradabordo a dit…

Perdu dans la foule, Mammón essayait de repérer son maître [virgule ?] au loin, entouré de la cohorte de démons qui l'accompagnait presque sans cesse. Non sans difficulté, il parvint à se frayer un chemin jusqu'à lui.
— Où étais-tu ? Je ne t'ai pas vu de toute la journée, dit Satan, d'une voix assez forte pour dominer celles de [bizarre non : pluriel pour singulier… Voyez s'il ne faut pas formuler autrement ou décomposer, avec des chevilles] l'attroupement. Les adieux ont toujours une saveur aigre-douce, n'est-ce pas ?
— C'est vrai, répondit Mammón. Et toi, quand pars-tu ?
À cette question, le sourire de Lucifer s'altéra [bof] légèrement pour se teinter [mal dit] d'une certaine surprise.

Caroline a dit…

Perdu dans la foule, Mammón essayait de repérer son maître, au loin, entouré de la cohorte de démons qui l'accompagnait presque sans cesse. Non sans difficulté, il parvint à se frayer un chemin jusqu'à lui.
— Où étais-tu ? Je ne t'ai pas vu de toute la journée, dit Satan, d'une voix assez forte pour dominer le fracas de l'attroupement. Les adieux ont toujours une saveur aigre-douce, n'est-ce pas ?
— C'est vrai, répondit Mammón. Et toi, quand pars-tu ?
À cette question, le sourire de Lucifer s'effaça légèrement pour se mêler d'une certaine surprise.

Tradabordo a dit…

Perdu dans la foule, Mammón essayait de repérer son maître, au loin, entouré de la cohorte de démons qui l'accompagnait presque sans cesse. Non sans difficulté, il parvint à se frayer un chemin jusqu'à lui.
— Où étais-tu ? Je ne t'ai pas vu de toute la journée, dit Satan, d'une voix assez forte pour dominer le fracas de l'attroupement. Les adieux ont toujours une saveur aigre-douce, n'est-ce pas ?
— C'est vrai, répondit Mammón. Et toi, quand pars-tu ?
À cette question, le sourire de Lucifer s'effaça légèrement pour se mêler d'une certaine surprise.

OK.