Lejos de todo aquello que pudiera recordarme lo que nos habían hecho. Era media tarde y dormitábamos sobre una de las camas de campaña, vencidos por el cansancio y el calor, cuando uno de nuestros colegas, un chileno llamado Sergio, nos fue a avisar.
—Luija, ¿estás conectado?
—¿Qué pasa? —contestamos vacilantes y confundidos.
—¿Estás conectado? —insistió.
Traduction temporaire :
Loin de tout ce qui pourrait me rappeler ce qu'ils nous avaient fait. On était au milieu de l'après-midi, nous dormions sur un des lits de camp, vaincus par la fatigue et la chaleur, quand l'un de nos collègues, un Chilien nommé Sergio, vint nous prévenir.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? hésitants et confus, nous répondîmes.
— Es-tu connecté ? insista-t-il.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? hésitants et confus, nous répondîmes.
— Es-tu connecté ? insista-t-il.
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Loin de tout ce qui pourrait me rappeler ce qu'ils nous avaient fait. Au milieu de l'après-midi, nous dormions sur un des lits de camp, vaincus par la fatigue et la chaleur, quand l'un de nos collègues, un chilien nommé Sergio, vint nous prévenir.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? nous répondîmes hésitants et confus.
— Tu es connecté ? insista-t-il.
Loin de tout ce qui pourrait me rappeler ce qu'ils nous avaient fait. [et le « era » de l'espagnol ?] Au milieu de l'après-midi, nous dormions sur un des lits de camp, vaincus par la fatigue et la chaleur, quand l'un de nos collègues, un chilien [grammaire] nommé Sergio, vint nous prévenir.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? nous répondîmes [inversez] hésitants et confus.
— Tu es connecté ? insista-t-il.
Loin de tout ce qui pourrait me rappeler ce qu'ils nous avaient fait. On était au milieu de l'après-midi, nous dormions sur un des lits de camp, vaincus par la fatigue et la chaleur, quand l'un de nos collègues, un Chilien nommé Sergio, vint nous prévenir.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? hésitants et confus, nous répondîmes.
— Es-tu connecté ? insista-t-il.
Loin de tout ce qui pourrait me rappeler ce qu'ils nous avaient fait. On était au milieu de l'après-midi, nous dormions sur un des lits de camp, vaincus par la fatigue et la chaleur, quand l'un de nos collègues, un Chilien nommé Sergio, vint nous prévenir.
— Luija, es-tu connecté ?
— Que se passe-t-il ? hésitants et confus, nous répondîmes.
— Es-tu connecté ? insista-t-il.
OK.
Julie ?
Ok.
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