vendredi 13 mars 2015

Projet Élodie 10 – phrases 35-38

Aún lo veo: deja el bolso sobre la mesa, se sienta en el sofá y mi gata le acaricia el tobillo con la cabeza o con el rabo hasta que ese cuerpo la alza en el aire, baila con ella y, después, la acuna en su regazo. Ronronea la muy cabrona. Yo temía entonces que, en un descuido, desgarrara con sus uñas las medias de redecilla negra que enfundaban las piernas robustas de Micaela. Y ya a solas, en un susurro, deseando morder sus orejas, le decía a mi gata: yo te mato, gatita, te mato.

Traduction temporaire :
Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire les bas en résille noire qui gainaient les jambes solides de Micaela avec ses griffes.

8 commentaires:

Elodie a dit…

Je la vois encore : elle laisse son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle et, ensuite, la berce dans son giron. Elle ronronne l'enfoirée. Alors, je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire de ses griffes les bas en résilles noirs qui gainaient les jambes solides de Micaela.

Tradabordo a dit…

Je la vois encore : elle laisse [«pose » ?] son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue [virgule] jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle et, ensuite [« puis » en remplacement des deux], la berce dans [« sur »] son giron. Elle ronronne [virgule] l'enfoirée [« la garce / salope »]. Alors, je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire de ses griffes les bas en résilles noirs qui gainaient les jambes solides de Micaela [mets un peu de fluidité dans tout ça].

Elodie a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle puis, la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais alors que, dans un moment d'inattention, elle déchire de ses griffes les bas en résilles noirs qui gainaient les jambes solides de Micaela.

Tradabordo a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais alors [nécessaire ?] que dans un moment d'inattention, elle déchire de ses griffes les bas en résilles [c'est au pluriel ? Vérifie] noirs qui gainaient les jambes solides de Micaela.

Elodie a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire de ses griffes les bas en résille noire qui gainaient les jambes solides de Micaela.

Tradabordo a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire de [« avec »] ses griffes [mets-le après] les bas en résille noire qui gainaient les jambes solides de Micaela.

Elodie a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire les bas en résille noire qui gainaient les jambes solides de Micaela avec ses griffes.

Tradabordo a dit…

Je la vois encore : elle pose son sac sur la table, s'assied sur le canapé et ma chatte lui caresse la cheville avec sa tête ou avec sa queue, jusqu'à ce que ce corps la soulève, danse avec elle, puis la berce sur son giron. Elle ronronne, la garce. Je craignais que dans un moment d'inattention, elle déchire les bas en résille noire qui gainaient les jambes solides de Micaela avec ses griffes.

OK.