Aquella tarde, además, quedó sellada con una singular despedida. Antes de que yo volviera a empaparme en el tormentoso garaje, ella, Irina, puso dos de sus finos dedos sobre mi boca, como haciendo una reja, y los besó. Un gesto rápido, tierno, que me dejó pensativo. ¿Se protegía de algo eludiendo los besos en la boca? ¿Acaso ese terco repudio a ser besada, y en ello no podían intervenir las mellizas Arteaga, constituía la verdadera causa de los rumores? ¿Qué la atemorizaba? ¿La mononucleosis? ¿Estaba, como muchísima gente en esos años, obsesionada por la invisible existencia de los microbios?
Traduction temporaire :
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage tempétueux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans – était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'existence invisible des microbes ?
8 commentaires:
De plus, cette après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage orageux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans, était peut-être la véritable cause des rumeurs ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage orageux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans, était peut-être la véritable cause des rumeurs [« qui couraient sur son compte » ou inutile ?] ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage orageux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans, était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage orageux [« tempétueux »], elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans [ferme ton tiret], était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage tempétueux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans – était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage tempétueux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans – était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'invisibilité des microbes [est-ce que tu ne devrais pas laisser le littéral ?] ?
J'ai hésité…
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage tempétueux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans – était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'existence invisible des microbes ?
De plus, cet après-midi s'acheva sur un au revoir singulier. Avant que je ne retourne me tremper dans le garage tempétueux, elle, Irina, posa deux de ses doigts fins sur ma bouche, comme pour former une grille, et les embrassa. Un geste rapide, tendre, qui me laissa pensif. Se protégeait-elle de quelque chose en évitant les baisers sur la bouche ? Ce refus obstiné d'être embrassée – les jumelles Arteaga n'avaient rien à voir là-dedans – était peut-être la véritable cause des rumeurs qui couraient sur son compte ? De quoi avait-elle peur ? D'attraper la mononucléose ? Était-elle, comme beaucoup de gens à cette époque, obnubilée par l'existence invisible des microbes ?
OK.
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