mardi 3 mars 2015

Projet Marine / Céleste – phrases 53-56

Y los pensamientos, los deseos de un sordo-ciego-mudo no son nada fáciles de captar, de concebir. Las múltiples fases de la vida diaria transcurren como si fueran filtradas, sin colores ni sonidos, en dependencia total de los que podemos ver y oír. Como un “No-World”, un “No-Mundo”, ha bautizado a su vida la escritora sorda-ciega Helen Keller. Un mundo casi imposible de entrar desde fuera y difícil de abandonar desde adentro.

Traduction temporaire :
Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

10 commentaires:

Mohammed a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles avaient été filtrées, sans couleurs ni sons, en dépendance totale de ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "No-Mundo", a baptisé sa vie l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles avaient été [« étaient »] filtrées, sans couleurs ni sons, en [« dans une »] dépendance totale de [mal dit] ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "No-Mundo[traduisez !]", a baptisé sa vie l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller [syntaxe à reprendre]. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Unknown a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale envers ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "Non-monde", l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale envers [ou « vis-à-vis de » ?] ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "Non-monde", [chevilles : « voilà comment »] l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Unknown a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Mohammed a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Je prends la première proposition postée.

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Comme [supprimez ; comme après on a « comment », ça suffit bien…] un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Mohammed a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

Tradabordo a dit…

Les pensées, les désirs d'un sourd-aveugle-muet ne sont pas faciles à saisir, à concevoir. Les multiples phases de la vie quotidienne s'écoulent comme si elles étaient filtrées, sans couleurs ni sons, dans une dépendance totale vis-à-vis de ceux que nous pouvons voir et entendre. Un "No-World", un "Non-monde", voilà comment l'écrivain sourde et aveugle Helen Keller a baptisé sa vie. Un monde dans lequel il est presque impossible d'entrer de l'extérieur et difficile d'abandonner de l’intérieur.

OK.

Marine ?

Unknown a dit…

OK POUR MOI !