El terror de estar con uno mismo. El pavor de no poder repartir la propia conciencia insoportable. Después de eso, ¿qué es la compañía? Bebió el último sorbo de café y sintió que sus manos temblaban. Era el peor de los destinos para el niño que fui, que me dejaran solo. ¿A dónde se fueron todos?, grita. Está parado en el Zócalo. El grito se ahueca, reverbera, se reproduce en ecos vibrantes.
Traduction temporaire :
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Son cri enfle, résonne, se duplique en échos vibrants.
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Son cri enfle, résonne, se duplique en échos vibrants.
4 commentaires:
Projet Odile 2 – phrases 107-114
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Le cri enfle, résonne, se reproduit en échos vibrants.
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Le [possessif ?] cri enfle, résonne, se reproduit [« duplique » ? Comme tu préfères] en échos vibrants.
Projet Odile 2 – phrases 107-114
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Son cri enfle, résonne, se duplique en échos vibrants.
La terreur de se retrouver face à soi-même. La frayeur de ne pouvoir partager sa propre conscience insupportable. Après ça, qu’est-ce que la compagnie ? Il but la dernière gorgée de café et sentit que ses mains tremblaient. Qu’ils m’aient laissé seul était le pire des destins pour l’enfant que je fus. Où étaient-ils tous partis ? crie-t-il. Il est arrêté sur le Zócalo. Son cri enfle, résonne, se duplique en échos vibrants.
OK.
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