vendredi 17 avril 2015

Projet Manuel / Thomas – phrases 130-136


Santiago balbuceó algo pero era como si tuviera arena en la boca. Sus ojos se humedecían sin que pudiera controlarlo. Sentía una fuerte presión en la nuca, un lastre que doblegaba su cuello y sus hombros y oprimía su espalda. Su cuerpo volvía a ser lento y pesado. La vaharada de calor estival que inundaba el aire le hacía difícil respirar. Pronto empezó a distinguir los ruidos de la calle y, cuando el brusco sonido de un jet atravesó la noche, cerró los ojos y se cubrió los oídos. Al hacerlo onduló hacia atrás y su cuerpo tambaleó sobre el pretil.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

8 commentaires:

Unknown a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il ne puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, une charge, qui pesait sur son cou et ses épaules, opprimait son dos. Son corps était redevenu lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale, qui inondait l’air, lui donnait du mal à respirer. Il commença à distinguer rapidement les bruits venant de la rue, et, quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux, et se boucha les oreilles. En faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps manqua de s’écrouler sur la balustrade.

Tradabordo a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il ne [supprimez] puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, une charge [« poids » ?], [sans la virgule] qui pesait sur son cou et [on peut supprimer + « également » ?] ses épaules, opprimait [on le dirait naturellement ?] son dos. Son corps était redevenu [temps ?] lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale, [sans la virgule] qui inondait l’air, lui donnait [mal dit ; il y a beaucoup plus simple] du mal à respirer. Il commença à [et le « pronto » ?] distinguer rapidement les bruits venant de la rue,

Faisons déjà cela.

et, quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux, et se boucha les oreilles. En faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps manqua de s’écrouler sur la balustrade.

Unknown a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air, le faisait difficilement respirer . Rapidement, il commença à distinguer les bruits venant de la rue et, quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles. En faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps manqua de s’écrouler sur la balustrade.

Tradabordo a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air, le faisait difficilement respirer [espace en trop + la fin manque de fluidité ; pb de syntaxe, je pense]. Rapidement, il commença à [faites sans…] distinguer les bruits venant de la rue et, quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles. En faisant cela, [avec un simple point-virgule, est-ce que cela ne suffirait pas ?] il vacilla vers l’arrière et son corps manqua de s’écrouler sur la balustrade.

Unknown a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air, le faisait respirer difficilement. Rapidement, il distingua les bruits venant de la rue et, quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles ; en faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps manqua de s’écrouler sur la balustrade.

Tradabordo a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air le faisait respirer difficilement. Rapidement, il distingua les bruits venant de la rue et quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles ; en faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps manqua s’écrouler [pas ce que dit la V.O.] sur la balustrade.

Faites un copier/coller avec ma version, car je fais des modifs de ponctuation ou suppression de coquilles que vous me remettez.

Unknown a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air le faisait respirer difficilement. Rapidement, il distingua les bruits venant de la rue et quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles ; en faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps chancela contre la balustrade.

Tradabordo a dit…

Santiago bafouilla quelque chose, mais c’était comme s’il avait du sable dans la bouche. Ses yeux s’humidifiaient sans qu’il puisse le contrôler. Il ressentait une forte pression dans la nuque, un poids qui pesait sur son cou, également sur ses épaules, et courbait son dos. Son corps redevenait lent et lourd. La bouffée de chaleur estivale qui inondait l’air le faisait respirer difficilement. Rapidement, il distingua les bruits venant de la rue et quand le son brutal d’un jet perça le silence de la nuit, il ferma les yeux et se boucha les oreilles ; en faisant cela, il vacilla vers l’arrière et son corps chancela contre la balustrade.

OK.

Manuel ?