vendredi 24 avril 2015

Projet Morgane 12 – phrase 131

De la madrugada hasta el alba, con la calefacción prendida porque afuera nieva y Brooklyn se va llenando de esa espuma gruesa, blanca y maligna que crece y se multiplica hasta sepultarla, con las bolsitas de cocaína vacías al costado del teclado y la idea creciente de marcarle de nuevo a Sherwood, pienso en Penélope y en la vida después de Penélope y la melancolía me seca la boca y me enmudece.

Traduction temporaire :
De l'aurore à l'aube, avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

9 commentaires:

Unknown a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage accroché parce qu'il neige dehors et Brooklyn est en train de se couvrir de cette mousse épaisse, blanche et malveillante qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir, avec les pochons de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche me rend muet.

Tradabordo a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage accroché [?????] parce qu'il neige dehors et [« que »] Brooklyn est en train de se couvrir de cette mousse [« écume » ?] épaisse, blanche et malveillante [littéral ?] qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir, avec les pochons [régionalisme] de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche [virgule] me rend muet.

Unknown a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir, avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Tradabordo a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir, [ponctuation ? Est-ce qu'on ne change pas totalement d'idée ?] avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Unknown a dit…

De l'aurore à l'aube — avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood — je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Tradabordo a dit…

De l'aurore à l'aube — [les tirets moyens ; les longs sont pour les dialogues + pas certaine que ce soit la solution, d'ailleurs] avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood — [CS à mon avis… ça va avec la suite] je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Tradabordo a dit…

De l'aurore à l'aube — [les tirets moyens ; les longs sont pour les dialogues + pas certaine que ce soit la solution, d'ailleurs] avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood — [CS à mon avis… ça va avec la suite] je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Unknown a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

Tradabordo a dit…

De l'aurore à l'aube, avec le chauffage en route parce qu'il neige dehors et que Brooklyn est en train de se couvrir de cette écume épaisse, blanche et maligne qui croît et se multiplie au point de l'ensevelir ; avec les sachets de cocaïne vides près du clavier et l'idée grandissante de recontacter Sherwood, je pense à Penélope, à la vie après Penélope, et la mélancolie m'assèche la bouche, me rend muet.

OK.