vendredi 4 décembre 2015

Projet Danny 1 – phrases 11-15

Le digo que soy amiga de Micaela, la hija de François, y me empieza a hablar de los treinta años de amistad y cartas con el padre de mi amiga. Salgo con él del teatro, me dice que lo acompañe hasta el lugar donde va a cenar con sus amigos. Empieza a llover. Sólo nosotros dos, un peruano que convive desde hace treinta años con la lluvia, y una peruana que recién desde hace un año sabe lo que es vivir bajo la lluvia casi permanente, somos los únicos que no tenemos paraguas. Alfredo me cuenta que siempre los pierde. Como yo, que perdí mi primer paraguas, que era de mi abuelita, en el metro madrileño.

Traduction temporaire :
Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et d'échanges épistolaires avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux, un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment, nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie, que je tenais de ma mamie, dans le métro madrilène.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des lettres avec le père de mon amie. En sa présence, je sors du théâtre et il me demande de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il va dîner avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Uniquement nous deux : un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, récemment, depuis un an, sait ce que c’est que de vivre, presque constamment, sous la pluie ; nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Tout comme moi, j’ai perdu mon premier parapluie, venant de ma petite mamie, dans le métro madrilène.

Tradabordo a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des [CS] lettres avec le père de mon amie. En sa présence [pas ce qui est dit // je vous l'ai expliqué : vous changez trop… ce qui n'est bon ni pour le concours, ni pour la traduction tout court], je sors du théâtre et il me demande [trop fort par rapport à la V.O. ?] de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il va dîner avec ses amis. Il se met à pleuvoir. [ajout d'un verbe ?] Uniquement nous deux : un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, récemment, depuis un an [ça n'est pas très naturel], sait ce que c’est que de vivre, presque constamment, [j'hésite pour les virgules…] sous la pluie ; nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Tout [nécessaire de dépenser un « tout » là où ça n'apporte rien… ?] comme moi, j’ai perdu mon premier parapluie, venant de ma petite [bof] mamie, dans le métro madrilène.

Unknown a dit…

Le digo que soy amiga de Micaela, la hija de François, y me empieza a hablar de los treinta años de amistad y cartas con el padre de mi amiga. Salgo con él del teatro, me dice que lo acompañe hasta el lugar donde va a cenar con sus amigos. Empieza a llover. Sólo nosotros dos, un peruano que convive desde hace treinta años con la lluvia, y una peruana que recién desde hace un año sabe lo que es vivir bajo la lluvia casi permanente, somos los únicos que no tenemos paraguas. Alfredo me cuenta que siempre los pierde. Como yo, que perdí mi primer paraguas, que era de mi abuelita, en el metro madrileño.


Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des correspondances avec le père de mon amie. Je sors, avec lui, du théâtre et il me demande de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il va dîner avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux : un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment ; nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Comme moi, j’ai perdu mon premier parapluie, venant de ma mamie, dans le métro madrilène.

Tradabordo a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des [CS] correspondances [non] avec le père de mon amie. Je sors, avec lui, [sans les virgules] du théâtre et il me demande [plus neutre en V.O. ?] de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il va [nécessaire ?] dîner avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux [CS ? Ça va avec la fin, non ?] : un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine [pourquoi cet ajout ?], sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment ; nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Comme moi [naturel ici ?], j’ai perdu mon premier parapluie, venant de ma mamie, dans le métro madrilène.

Unknown a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des parties de cartes avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux : un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment ; nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie, venant de ma mamie, dans le métro madrilène.

1. « et il me demande de l’accompagner » cela me semble plus naturel de dire « demander » que « dire » en français, est-ce que « proposer » conviendrait mieux ?

2. « où il va dîner avec ses amis » j’ai respecté le texte, à moins qu’un futur vous semble plus juste ?  « où il dînera …. » ??

3. « nous ne sommes que deux » il ne peut pas être à la fin car le texte commence par « sólo nosotros dos » et fini par « somos los ùnicos que no tenemos ……. » que j’ai traduit (je ne vois pas dans cette partie ce qui ne convient pas…)

4.« Depuis un an à peine » ce n’est pas un ajout j’ai tenté de rendre compte du mot « recién » et en faisant mes recherches j’ai vu qu’en AL il avait ce sens, ce qui m’a semblé bien vis-à-vis du texte et de son contexte, non ?.

Tradabordo a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et des parties de cartes [non ; trente ans est en commun pour l'amitié et la suite…] avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux : [virgule] un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment ; [virgule] nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie, venant [« je le tenais »] de ma mamie, dans le métro madrilène.

Unknown a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et de parties de cartes avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux, un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment, nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie que je tenais de ma mamie, dans le métro madrilène.

Tradabordo a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et de parties de cartes [FS] avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux, un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment, nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie [virgule] que je tenais de ma mamie, dans le métro madrilène.

Unknown a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et d'échanges épistolaires avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux, un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment, nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie, que je tenais de ma mamie, dans le métro madrilène.

Tradabordo a dit…

Je lui dis que je suis une amie de Micaela, la fille de François, et il commence à me parler des trente ans d’amitié et d'échanges épistolaires avec le père de mon amie. Je sors avec lui du théâtre et il me propose de l’accompagner jusqu’à l’endroit où il dînera avec ses amis. Il se met à pleuvoir. Nous ne sommes que deux, un Péruvien qui cohabite depuis trente ans avec la pluie et une Péruvienne qui, depuis un an à peine, sait ce que c’est que de vivre sous la pluie presque constamment, nous sommes les seuls à ne pas avoir de parapluie. Alfredo me raconte qu’il les perd toujours. Moi aussi, j’ai perdu mon premier parapluie, que je tenais de ma mamie, dans le métro madrilène.

OK.