―No lo sé. Pero no se fatigue en futilidades. En nuestra ignorancia llamamos azar al tejido infinito e incalculable de causas y efectos. El «yo» es nuestro mayor pecado. Pero el «yo» tiene poco que ver con la individualidad, con ser distinto a los demás. Tres de los autores que siempre he admirado: Schopenhauer, Hume y Berkeley, siempre hablaron del «yo» como una ilusión y creo que estaban en lo cierto. Usted se pregunta por su propia esencia, por sus diversos futuros, por las aparentes inconsistencias de lo porvenir. Yo, en cambio, tengo miedo de seguir siendo.
Traduction temporaire :
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas avec ces futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable des causes et des effets. Le « je » est notre plus important péché. Alors que le « je » n'a pas grand-chose à voir avec l'individualité ou avec le fait de se démarquer des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admirés – Schopenhauer, Hume et Berkeley –, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous, vous interrogez sur votre essence, sur vos divers avenirs, sur les apparentes inconsistances du futur. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
6 commentaires:
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas en futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable de causes à effets. Le « je » est notre plus grand pêché. Mais le « je » n'a pas grand chose à voir avec l'individualité ou être différent des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admiré : Schopenhauer, Hume et Berkeley, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous vous interrogez sur votre propre essence, sur vos divers lendemains, sur les apparentes inconsistances de l'avenir. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas en [ça ne va pas… je crois que c'est à cause du « en », mais pas sûre ; peut-être le verbe] futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable de [« des »] causes à [« et des »] effets. Le « je » est notre plus grand pêché [ortho]. Mais [tu as déjà commencé une phrase avec ; cf un peu plus haut…] le « je » n'a pas grand [tu viens de le dire] chose à voir avec l'individualité ou [chevilles nécessaires] être différent des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admiré [grammaire ?] : [pas dans les dialogues] Schopenhauer, Hume et Berkeley, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous [virgule] vous interrogez sur votre propre [supprime] essence, sur vos divers lendemains [mal dit], sur les apparentes inconsistances de l'avenir. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas à ces futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable des causes et des effets. Le « je » est notre plus important péché. Alors que le « je » n'a pas grand chose à voir avec l'individualité ou avec se démarquer des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admirés – Schopenhauer, Hume et Berkeley –, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous, vous interrogez sur votre essence, sur vos divers avenirs, sur les apparentes inconsistances du futur. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas à [« avec » ?] ces futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable des causes et des effets. Le « je » est notre plus important péché. Alors que le « je » n'a pas grand chose [tiret] à voir avec l'individualité ou avec [chevilles] se démarquer des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admirés – Schopenhauer, Hume et Berkeley –, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous, vous interrogez sur votre essence, sur vos divers avenirs, sur les apparentes inconsistances du futur. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas avec ces futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable des causes et des effets. Le « je » est notre plus important péché. Alors que le « je » n'a pas grand-chose à voir avec l'individualité ou avec le fait de se démarquer des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admirés – Schopenhauer, Hume et Berkeley –, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous, vous interrogez sur votre essence, sur vos divers avenirs, sur les apparentes inconsistances du futur. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
― Je ne sais pas. Mais ne vous fatiguez pas avec ces futilités. Par ignorance, nous appelons hasard le tissu infini et incalculable des causes et des effets. Le « je » est notre plus important péché. Alors que le « je » n'a pas grand-chose à voir avec l'individualité ou avec le fait de se démarquer des autres. Trois des auteurs que j'ai toujours admirés – Schopenhauer, Hume et Berkeley –, parlent du « je » comme d'une illusion et je crois qu'ils ont vu juste. Vous, vous interrogez sur votre essence, sur vos divers avenirs, sur les apparentes inconsistances du futur. Moi, en revanche, j'ai peur de continuer d'exister.
OK.
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