Los mocos que cuelgan de sus narices relucen y llegan hasta el borde del labio superior. Sus ojos, dos llamas sofocadas, parecen aguardar algo. Transcurren varios minutos. Entonces, desde el interior de la casa, se escucha la aguda voz de su madre ordenando que ingresen a comer. Pero ella no se incorpora.
–¡Ya voy, mami! –grita Julio, corriendo hacia la casa.
Traduction temporaire :
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. On entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère leur ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison.
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. On entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère leur ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison.
7 commentaires:
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes penaudes, semblent retenir quelque chose. Plusieurs minutes passent. S'entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de sa mère ordonnant qu'ils rentrent manger. Mais elle ne se redresse pas.
— J'arrive maman ! crie Julio, courant jusqu'à la maison.
Avez-vous reçu ma proposition de traduction ?
Oui, mais dans le flot des commentaires, je ne l'avais pas vu… Quand vous voyez que je ne réponds pas alors que ça bouge chez les autres, n'hésitez pas à réagir plus vite.
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes penaudes [sûre ?], semblent retenir [FS ?] quelque chose. Plusieurs minutes passent. S'entend [très mal construit] alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de sa mère [« leur »] ordonnant qu'ils rentrent [infinitif ?] manger. Mais elle ne se redresse [« relève » ?] pas.
— J'arrive maman ! crie Julio, [« en », sans la virgule] courant jusqu'à la maison.
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. on entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison.
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. on [majuscule] entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère [« leur », comme demandé dans mon commentaire précédent] ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison.
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. On entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère leur ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison
La morve qui coule de son nez brille et descend jusqu'au bord de sa lèvre supérieure. Ses yeux, deux flammes étouffées, semblent exprimer quelque chose. Plusieurs minutes passent. On entend alors, depuis l'intérieur de la maison, la voix aiguë de leur mère leur ordonnant de rentrer manger. Mais elle ne se relève pas.
— J'arrive maman ! crie Julio en courant jusqu'à la maison.
OK.
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