samedi 20 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 327-337

Aníbal contempló un instante el paso de dos bellas chicas a través de la mampara.
De Marlon Brando —contestó.
Su respuesta, tan inesperada, me dejó boquiabierto.
Muchacho bueno disfrazado de malo. Actitud irreverente, mirada hosca y sexual, pose de qué chucha quieres conmigo, compadre. La Zurda había quedado prendada del fabuloso Brando de Nido de ratas. La película la habían pasado por casi dos semanas en La Punta. ¿Enamorada de Brando? ¿Qué significaba aquel absurdo? Una niñería, un evidente gesto de inmadurez; nada más. Irina Marovich no era una lunática, sino una bella chica con la cabeza llena de pajaritos, alguien que anhelaba ofrecer su palpitante corazón en bandeja.

Traduction temporaire :

Anibal contempla un instant deux jolies filles passer à travers la vitrine.
— De Marlon Brando, répondit-il. Sa révélation me laissa coi, tant elle était inattendue.
Un gentil garçon déguisé en méchant. Attitude irrévérencieuse, regard cruel et sexuel, pose de celui qui demande : qu'est-ce que tu me veux, mec ? La Gauchère était tombée sous le charme du fabuleux Brando de Sur les quais. Le film était passé presque deux semaines à La Punta. Amoureuse de Brando ? Comment interpréter pareille absurdité ? Il s'agissait d'un enfantillage, d'une preuve évidente d'immaturité ; rien d'autre. Irina Marovich n'était pas lunatique, juste une belle jeune fille à la tête pleine de petits oiseaux, quelqu'un qui désirait ardemment offrir son cœur palpitant sur un plateau.

4 commentaires:

Justine a dit…

Anibal contempla un instant deux jolies filles passer sur l'écran.
— De Marlon Brando, répondit-il. Sa révélation, tellement inattendue, me laissa coi.
Un gentil garçon déguisé en méchant. Attitude irrévérencieuse, regard cruel et sexuel, pose de celui qui demande : qu'est-ce que tu me veux, mec ? La Gauchère était tombée sous le charme du fabuleux Brando de Sur les quais. Le film était passé presque deux semaines à La Punta. Amoureuse de Brando ? Comment interpréter cette absurdité ? Il s'agissait d'un enfantillage, d'une preuve évidente d'immaturité ; rien d'autre. Irina Marovich n'était pas lunatique, juste une belle jeune fille à la tête pleine de petits oiseaux, quelqu'un qui désirait ardemment offrir son coeur battant sur un plateau.

Tradabordo a dit…

Anibal contempla un instant deux jolies filles passer sur l'écran [?].
— De Marlon Brando, répondit-il. Sa révélation, tellement inattendue [syntaxe ?], me laissa coi.
Un gentil garçon déguisé en méchant. Attitude irrévérencieuse, regard cruel et sexuel, pose de celui qui demande : qu'est-ce que tu me veux, mec ? La Gauchère était tombée sous le charme du fabuleux Brando de Sur les quais. Le film était passé presque deux semaines à La Punta. Amoureuse de Brando ? Comment interpréter cette [« pareille » ?] absurdité ? Il s'agissait d'un enfantillage, d'une preuve évidente d'immaturité ; rien d'autre. Irina Marovich n'était pas lunatique, juste une belle jeune fille à la tête pleine de petits oiseaux, quelqu'un qui désirait ardemment offrir son coe[œ]ur battant [littéral] sur un plateau.

Justine a dit…

Anibal contempla un instant deux jolies filles passer à travers la vitrine.
— De Marlon Brando, répondit-il. Sa révélation me laissa coi, tant elle était inattendue.
Un gentil garçon déguisé en méchant. Attitude irrévérencieuse, regard cruel et sexuel, pose de celui qui demande : qu'est-ce que tu me veux, mec ? La Gauchère était tombée sous le charme du fabuleux Brando de Sur les quais. Le film était passé presque deux semaines à La Punta. Amoureuse de Brando ? Comment interpréter pareille absurdité ? Il s'agissait d'un enfantillage, d'une preuve évidente d'immaturité ; rien d'autre. Irina Marovich n'était pas lunatique, juste une belle jeune fille à la tête pleine de petits oiseaux, quelqu'un qui désirait ardemment offrir son cœur palpitant sur un plateau.

Tradabordo a dit…

Anibal contempla un instant deux jolies filles passer à travers la vitrine.
— De Marlon Brando, répondit-il. Sa révélation me laissa coi, tant elle était inattendue.
Un gentil garçon déguisé en méchant. Attitude irrévérencieuse, regard cruel et sexuel, pose de celui qui demande : qu'est-ce que tu me veux, mec ? La Gauchère était tombée sous le charme du fabuleux Brando de Sur les quais. Le film était passé presque deux semaines à La Punta. Amoureuse de Brando ? Comment interpréter pareille absurdité ? Il s'agissait d'un enfantillage, d'une preuve évidente d'immaturité ; rien d'autre. Irina Marovich n'était pas lunatique, juste une belle jeune fille à la tête pleine de petits oiseaux, quelqu'un qui désirait ardemment offrir son cœur palpitant sur un plateau.

OK.