mardi 12 avril 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 521-528

Ningún hombre ni mujer volvería a disfrutar de las cálidas playas y frenéticas noches de aquella ciudad. En su lugar sólo deambulaban unos cuantos robots abnegadamente dedicados a mantener todo limpio y en su sitio, como si fueran los custodios de un enorme museo, o un mausoleo. Un monumento post-mortem a los logros de aquella especie que, para bien o para mal, había reinado sobre el planeta durante los últimos diez mil años, y que tan repentinamente había tenido que ceder su dominio. Podíamos observar a uno de aquellos nuevos señores de la creación barriendo la calzada y a otro recogiendo las hojas de los árboles. Más allá uno de aspecto aracnoide estaba encaramado en un edificio estilo art decó mientras limpiaba los ventanales. Sentíamos sus miradas. Aquellos ojos de metal capaces de recorrer todas las longitudes de ondas del espectro electromagnético se concentraban en nosotros. Los de aquellos androides, los de las cámaras en lo alto, los de incontables sensores que registraban nuestro cansado caminar por la ciudad.

Traduction temporaire :
Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seuls quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et en ordre, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

11 commentaires:

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, déambulaient seulement quelques robots, qui se consacraient avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, comme s'ils étaient les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné en maître sur la planète durant les dix-mille dernières années, et qui avait due, si soudainement céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création balayer la chaussée et un autre ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco ; il nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, déambulaient seulement quelques robots, qui se consacraient avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, comme s'ils étaient les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné en maître sur la planète durant les dix-mille dernières années, et qui avait dû, si soudainement céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création balayer la chaussée et un autre ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco ; il nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Tradabordo a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, déambulaient seulement quelques robots [syntaxe ?], qui se consacraient avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, comme s'ils étaient [nécessaire ?] les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné en maître [pourquoi cet ajout ?] sur la planète durant [nécessaire ? J'hésite…] les dix-mille dernières années, et qui avait dû, si soudainement [mets-le avant… Ça t'évitera les virgules] céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création balayer [« en train de… » ?] la chaussée et un autre ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco ; il [sans le système du point virgule] nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seulement quelques robots, qui se consacraient avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, déambulaient tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre en train de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Tradabordo a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seulement quelques robots, qui se consacraient avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, déambulaient tels [non, la syntaxe n'est pas génial… Au pire, coupe et fais deux phrases] les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre en train de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seulement quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre en train de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Tradabordo a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seulement [avec l'adverbe, ça ne va pas] quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et à sa place [« en ordre » ? Comme tu veux…], tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre en train [on peut supprimer, non ?] de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seuls quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et en ordre, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Tradabordo a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seuls quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et en ordre, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies-vitrées [au fait, sûre qu'il y a un tiret ? Vérifie, quand même…]. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Justine a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seuls quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et en ordre, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

Tradabordo a dit…

Aucun homme ni aucune femme ne jouirait de nouveau des plages chaudes et des nuits frénétiques de cette ville. Au lieu de cela, seuls quelques robots déambulaient, se consacrant avec abnégation à tout maintenir propre et en ordre, tels les gardiens d'un énorme musée ou d'un mausolée. Un monument post-mortem à la gloire des réussites de cette espèce, qui, pour le meilleur et pour le pire, avait régné sur la planète les dix-mille dernières années, et qui, si soudainement avait dû céder son pouvoir. Nous pouvions observer l'un de ces nouveaux seigneurs de la création en train de balayer la chaussée et un autre de ramasser les feuilles des arbres. Plus loin, un à l'aspect arachnoïde, juché sur un bâtiment style art déco, nettoyait les baies vitrées. Nous sentions leurs regards. Ces yeux de métal capables de couvrir toutes les longueurs d'ondes du spectre électromagnétique se concentraient sur nous. Ceux de ces androïdes, ceux des caméras, en hauteur, ceux de ces innombrables capteurs qui enregistraient nos déplacements las dans la ville.

OK.