mardi 12 avril 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 230-247

¿Dónde estuvo el fuego volcánico, Alma?, te pregun té, te pregunto. Tú señalaste el centro azul del lago.
¿Estás segura?, volví a preguntarte. Tú te reíste, le vantaste mi sexo con una mano y también lo señalaste.
¿Dónde estás ahora, Alma, Alga? Quiero verte pero ya no puedo.
Ese mismo día, mientras calentábamos nuestros cuerpos al sol, con el gozo del adormilado dijiste que ojalá pudiéramos ver una carta-carta, para que tu felicidad se hi ciera completa.
—¿Carta-carta? ¿Qué es eso? —te pregunté yo.
Con los ojos a medio abrir frente al sol, me miraste socarrona y comenzaste a sisear «bzzz, bzzz». Yo seguía sin entender.
—Es una libélula, tonto —clamaste.
Te levantaste y empinada sobre tus pies continuaste siseando, como si así pudieras convocar a alguna.
—Bueno, no importa —señalaste después de un rato, y te volviste a recostar a mi lado.
¿Recuerdas lo que me dijiste después? «Las carta-car ta son señal de buenas noticias». Y a ti te bastaba verlas para sentirte feliz, como si la buena noticia fueran ellas mismas.
No apareció ninguna ese día, querida Alma, y tú de biste partir con premura, preocupada porque de nuevo lle garías tarde para recoger a tus hijos de la escuela.

Traduction temporaire :
— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où es-tu maintenant, Alma, Algue ? Je veux te voir, mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de qui s'assoupit, tu as souhaité que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? C'est quoi ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je ne comprenais toujours pas.
— C'est une libellule, idiot !
Tu t'es relevée ; debout, tu as continué à siffler, comme si tu avais le pouvoir d'en faire apparaître une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

15 commentaires:

Tradabordo a dit…

Je ne suis pas certaine qu'il s'agisse de la bonne section… mais j'ai eu un problème avec le doc / mon logiciel de traitement de texte et j'ai un doute. Dis-moi.

Sabrina a dit…

Je suis remontée dans mes mails jusqu'à cet été et je n'ai plus celui où tu m'avais envoyé le texte. Je ne l'avais bien sûr pas enregistré... Je suis désolée de ne pas pouvoir t'aider.
Ca collerait, mais il est aussi fort possible qu'il y ait un passage entre les 2. Je traduis celui-ci et on avise lorsque tu penses pouvoir retrouver la "vraie" VO ?

Tradabordo a dit…

Je vais regarder dans le stock… mais rappelle-moi comment s'appelle l'auteur(e).

Sabrina a dit…

Elle s'appelle Karina Pacheco.

Tradabordo a dit…

C'est bien ce que je pensais… : quelques phrases ont sauté ; je les ai postées en « section manquante ». Vas-y et on reviendra ici après.

Sabrina a dit…

Où a existé le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac.
Tu en es sûre ? t'ai-je de nouveau interrogée. Tu as ri ; tu as levé mon sexe d'une main et tu l'as encore désigné.
Où se trouve-t-il maintenant, Alma, Alga ? Je veux te voir mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de celui qui s'assoupit, tu as souhaité : pourvu que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? Qu'est-ce donc ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille.
— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée.
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement comme si tu pouvais en convoquer une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Tradabordo a dit…

Attends, du coup, je suis paumée ; c'est la trad du bon passage publié dans le post et la suite ? Confirme, stp, avant que je regarde.

Sabrina a dit…

Oui, c'est la suite du passage publié dans "section manquante" et qui apparaît maintenant au-dessus. C'est donc le bon passage.

Tradabordo a dit…

¿Estás segura?, volví a preguntarte. Tú te reíste, le vantaste mi sexo con una mano y también lo señalaste.
¿Dónde estás ahora, Alma, Alga? Quiero verte pero ya no puedo.
Ese mismo día, mientras calentábamos nuestros cuerpos al sol, con el gozo del adormilado dijiste que ojalá pudiéramos ver una carta-carta, para que tu felicidad se hi ciera completa.

Où a existé [j'hésite ; en théorie, on ne devrait pas… mais être à l'imparfait ? Essaie et dis-moi…] le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je [à toi de trancher, ma chère]. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? t'ai-je de nouveau interrogée [« ai-je insisté » ?]. Tu as ri ; tu as levé [bof] mon sexe d'une main et tu l'as encore [texte] désigné.

Fais déjà ça.

Où se trouve-t-il maintenant, Alma, Alga ? Je veux te voir mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de celui qui s'assoupit, tu as souhaité : pourvu que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? Qu'est-ce donc ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille.
— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée.
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement comme si tu pouvais en convoquer une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Sabrina a dit…

100% d'accord avec un imparfait. J'y avais pensé car c'est bien plus naturel, mais je me disais qu'un passé simple ne pouvait pas se traduire par un imparfait.
C'est pas moi, c'est l'auteur qui propose les deux versions ;).

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où se trouve-t-il maintenant, Alma, Alga ? Je veux te voir mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de celui qui s'assoupit, tu as souhaité : pourvu que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? Qu'est-ce donc ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille.
— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée.
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement comme si tu pouvais en convoquer une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Tradabordo a dit…

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.

¿Dónde estás ahora, Alma, Alga? Quiero verte pero ya no puedo.
Ese mismo día, mientras calentábamos nuestros cuerpos al sol, con el gozo del adormilado dijiste que ojalá pudiéramos ver una carta-carta, para que tu felicidad se hi ciera completa.
—¿Carta-carta? ¿Qué es eso? —te pregunté yo.
Con los ojos a medio abrir frente al sol, me miraste socarrona y comenzaste a sisear «bzzz, bzzz». Yo seguía sin entender.

Où se trouve-t-il [« tu », en V.O.] maintenant, Alma, Alga [tu n'avais pas traduit ?] ? Je veux te voir [VIRGULE DEVANT MAIS] mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de celui [nécessaire ?] qui s'assoupit, tu as souhaité : [ça introduit le style direct / j'hésite] pourvu que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? Qu'est-ce donc ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille.
— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée.
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement comme si tu pouvais en convoquer une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Sabrina a dit…

Ah oui, il faut mettre une virgule avant "mais" ?! Je ne savais pas :p !!!!
Si si, j'avais traduit "Alga". Merci :)
Tu as raison : "souhaiter" introduit le style indirect et vaut pour "dijiste que ojala".

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où es-tu maintenant, Alma, Algue ? Je veux te voir, mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de qui s'assoupit, tu as souhaité que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? Qu'est-ce donc ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille.
— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée.
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement comme si tu pouvais en convoquer une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Tradabordo a dit…

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où es-tu maintenant, Alma, Algue ? Je veux te voir, mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de qui s'assoupit, tu as souhaité que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.

—¿Carta-carta? ¿Qué es eso? —te pregunté yo.
Con los ojos a medio abrir frente al sol, me miraste socarrona y comenzaste a sisear «bzzz, bzzz». Yo seguía sin entender.

— Carta-carta ? Qu'est-ce donc [j'ai l'impression d'être avec Valérie Lemercier] ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler [c'est vraiment siffler, du coup ?] "zzz, zzz". Je continuais à faire la sourde oreille [sûre de ton interprétation ?].


—Es una libélula, tonto —clamaste.
Te levantaste y empinada sobre tus pies continuaste siseando, como si así pudieras convocar a alguna.
—Bueno, no importa —señalaste después de un rato, y te volviste a recostar a mi lado.
¿Recuerdas lo que me dijiste después? «Las carta-car ta son señal de buenas noticias». Y a ti te bastaba verlas para sentirte feliz, como si la buena noticia fueran ellas mismas.

— C'est une libellule, idiot, t'es-tu exclamée [mets un point d'exclamation et basta].
Tu t'es relevée ; debout, tu as poursuivi ton sifflement [pas très naturel] [virgule] comme si tu pouvais en convoquer une [bof ; manque de naturel également].

Reprenons déjà tout ça.

Sabrina a dit…

Je me rappelle avoir cherché le cri de la libellule, mais en vain ! Alors j'ai laissé "siffler".
Je reprends tout le reste ;).

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où es-tu maintenant, Alma, Algue ? Je veux te voir, mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de qui s'assoupit, tu as souhaité que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? C'est quoi ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je ne comprenais toujours pas.
— C'est une libellule, idiot !
Tu t'es relevée ; debout, tu as continué à siffler, comme si tu avais le pouvoir d'en faire apparaître une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

Tradabordo a dit…

— Où se trouvait le feu volcanique, Alma ? t'ai-je demandé, te demandé-je. Tu as indiqué le centre bleu du lac. Tu en es sûre ? ai-je insisté. Tu as ri ; tu as pris mon sexe d'une main et tu l'as de nouveau désigné.
Où es-tu maintenant, Alma, Algue ? Je veux te voir, mais je ne peux plus. Ce même jour, alors que nous réchauffions nos corps au soleil, avec le plaisir de qui s'assoupit, tu as souhaité que nous voyions une carta-carta, pour que ton bonheur soit total.
— Carta-carta ? C'est quoi ? t'ai-je demandé.
Les yeux mi-clos face au soleil, tu m'as regardé, narquoise, et tu as commencé à siffler "zzz, zzz". Je ne comprenais toujours pas.
— C'est une libellule, idiot !
Tu t'es relevée ; debout, tu as continué à siffler, comme si tu avais le pouvoir d'en faire apparaître une.
— Bon, tant pis, as-tu déclaré au bout d'un moment. Puis tu t'es recouchée à mes côtés.
Te souviens-tu de ce que tu m'as dit après ? "Les carta-carta sont signal de bonnes nouvelles". Et il te suffisait de les voir pour te sentir heureuse, comme si elles étaient la bonne nouvelle en personne.
Aucune n'est apparue ce jour-là, chère Alma ; ensuite, tu as dû partir précipitamment, préoccupée, parce qu'une fois de plus, tu serais en retard pour récupérer tes enfants à l'école.

OK.