–Subimos a la azotea de su edificio –dice Jualma–. Allí nos sentamos al borde contemplando las luces, la ciudad; y sintiendo la garúa que empezaba a mojar nuestros rostros y las calles. Bebimos del gollete sin hablar. Sentí su respiración como de un odio reprimido. Sacó de su bolsillo grifa y armó un troncho.
–Fácil, después de ese chongazo un tronchito es lo mejor para calmar los nervios.
–Ajá. La pasamos fumando y hablando de las cosas que nos habían sucedido, de los sueños que teníamos, del futuro, de la música, de alguna canción como la de Bowie: We can be heroes, just for one day. Besándonos y también bebiendo, entre risas de nada.
–Fácil que se puso a llorar, porque las mujeres en esas situaciones siempre lloran.
Traduction temporaire :
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là, on s’est assis sur le bord, et on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans un mot. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac et a roulé un joint.
— Carrément, après une embrouille pareille, rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, de nos rêves, de l'avenir, de la musique, d’une chanson comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On s’est embrassés, on a bu et ri pour un rien.
— À tous les coups elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situation.
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là, on s’est assis sur le bord, et on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans un mot. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac et a roulé un joint.
— Carrément, après une embrouille pareille, rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, de nos rêves, de l'avenir, de la musique, d’une chanson comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On s’est embrassés, on a bu et ri pour un rien.
— À tous les coups elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situation.
5 commentaires:
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là-bas, on s’est assis sur le bord, on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans rien dire. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac, et a roulé un joint.
— Carrément, après cette embrouille, rien de tel qu’un pétard calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, des rêves qu’on avait, du futur, de la musique, d’une chanson, comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On est resté à s’embrasser, à boire, et à rire pour rien.
— À coup sûr elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situations.
Je n'avais pas vu que le blog avait repris du service.
Je recolle ma proposition qui a du passer à la trappe.
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là-bas, on s’est assis sur le bord, on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans rien dire. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac, et a roulé un joint.
— Carrément, après cette embrouille, rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, des rêves qu’on avait, du futur, de la musique, d’une chanson, comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On est restés à s’embrasser, à boire, et à rire pour rien.
— À coup sûr elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situations.
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là-bas [non], on s’est assis sur le bord, [« et » ?] on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans rien dire [« sans un mot » / tu as déjà un problème avec « dire »]. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac, [la virgule ?] et a roulé un joint.
— Carrément, après cette embrouille [« une embrouille pareille » ?], rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, des rêves qu’on avait [ou juste avec un possessif ?], du futur [« de l'avenir » ?], de la musique, d’une chanson, [la virgule ? Clair ?] comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On est restés [nécessaire ?] à s’embrasser, à boire, et à rire pour [cheville : « un » ?] rien.
— À coup sûr [mal dit] elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situations [pluriel ?].
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là, on s’est assis sur le bord, et on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans un mot. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac et a roulé un joint.
— Carrément, après une embrouille pareille, rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, de nos rêves, de l'avenir, de la musique, d’une chanson comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On s’est embrassés, on a bu et ri pour un rien.
— À tous les coups elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situation.
— On est montés sur le toit de son immeuble, continue Jualma. Là, on s’est assis sur le bord, et on a contemplé les lumières, la ville. On sentait la bruine qui commençait à mouiller nos visages et les rues. On a bu à la bouteille, sans un mot. J’ai remarqué que sa respiration ressemblait à une haine réprimée. Elle a sorti de l’herbe de son sac et a roulé un joint.
— Carrément, après une embrouille pareille, rien de tel qu’un pétard pour se calmer les nerfs.
— Ouais. On a passé la soirée à fumer et à parler de trucs qui nous étaient arrivés, de nos rêves, de l'avenir, de la musique, d’une chanson comme celle de Bowie We can be heroes, just for one day. On s’est embrassés, on a bu et ri pour un rien.
— À tous les coups elle s’est mise à pleurer. Les filles pleurent toujours dans ce genre de situation.
OK.
Enregistrer un commentaire