–No. Me dijo que nunca lloraba por alguien que no quería, y ella realmente odiaba a su madre; pero si le hacían algo malo y era alguien que de verdad quería, sí lloraba.
–Extraña, recontra extraña esa flaca.
–Sí, pues…
–¿Por qué lo haces? ¿Por qué estás a mi lado? ¿Por qué me defendiste? ¿Por qué me estás besando ahora? –dijo Aleh mirándome con esa magia de sus ojos claros– Nada de esto nos hará felices.
–Al menos nos dará la sensación de serlo –le dije–. De que podemos sentir amor… yo seré el rey y tú serás la reina… ¡Podemos ser héroes, al menos por un día!
–Bien dicho –dice Iosú– ¿y qué pasó?
–Nos besamos con cariño –dice Jualma–, sintiendo el calor de nuestros cuerpos en esa noche fría… Íbamos muy bien, hasta que de pronto todo se puso negro en la ciudad y una explosión lejana nos separó.
Traduction temporaire :
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec de la magie dans ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec de la magie dans ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
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— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais pour quelqu’un qu’elle n’aimait pas, et elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, dans ce cas, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre cette nana.
— Ben ouais…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec cette magie dans ses yeux clairs. C’est pas ça qui nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir se sentir aimés… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, juste pour un jour !
— Bien tourné, dit Iosú. Et qu’est ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien, jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— C’était quoi ?
— Une coupure de courant, réplique Aleh tout en cherchant un point lumineux dans la ville, putain de terroristes !
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais pour [« sur » / « à cause » ?] quelqu’un qu’elle n’aimait pas, et [« or qu'elle, »] elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, dans ce cas [ou : « alors là » ? Comme tu préfères], oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre [virgule ?] cette nana.
— Ben ouais [sûre de l'interprétation du « pues » ?]…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec cette [démonstratif ? Bof…] magie dans ses yeux clairs. C’est pas ça [texte ?] qui nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir se sentir aimés [texte ?]… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, juste [« ne serait-ce que » ?] pour un jour !
— Bien tourné, dit [« jugea » / « estima » ?] Iosú. Et qu’est ce [tiret] qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien, [point ? Comme tu veux] jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— C’était quoi ?
— Une coupure de courant, réplique Aleh tout en cherchant un point lumineux dans la ville, putain de terroristes ! [ça, ça ne fait pas partie du passage]
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec la magie dans [« de » ? ] ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec [« de » ?] la magie dans ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec de la magie dans ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
— Non. Elle m’a confié qu’elle ne pleurait jamais à cause de quelqu’un qu’elle n’aimait pas or, elle détestait vraiment sa mère. Mais si on lui faisait du mal et qu’il s’agissait d’une personne qu’elle aimait réellement, alors là, oui, elle pleurait.
— Bizarre, archibizarre, cette nana.
— Ouais, et donc…
— Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’es avec moi ? Pourquoi tu m’as défendue ? Pourquoi tu m’embrasses, là, maintenant ? m’a demandé Aleh, avec de la magie dans ses yeux clairs. Rien de tout ça nous rendra heureux.
— Ça nous donnera au moins l’impression de l’être, ai-je répondu. De pouvoir ressentir de l’amour… je serai le roi, et toi la reine… On peut être des héros, ne serait-ce que pour un jour !
— Bien tourné, jugea Iosú. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— On s’est embrassés tendrement, répond Jualma. On sentait la chaleur de nos corps dans cette nuit froide… On était bien. Jusqu’à ce que, d’un coup, toute la ville soit plongée dans le noir et qu’une explosion au loin nous sépare.
OK.
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