Et, juste après avoir entendu les narrations de ses élèves, elle les critiqua :
Je pense qu'il s'agit là plus d'une critique que d'une réprimande, j'ai l'impression qu'il y a une espèce de reproche dans la phrase qui suit, qu'en pensez-vous ?
Et, après avoir entendu les récits de ses élèves, elle les réprimanda :
Décidément, je reviens à cette histoire de « experiencias escritas »… ; ok, on ne met pas « expériences » (outre le problème de la répétition, ça ne va pas bien), mais je pense qu'il est important de dire que ce sont des choses qu'elles ont vécues. Je ne sais pas si je suis claire. Ce ne sont pas de simples récits, justement.
Et, après avoir entendu les anecdotes personnelles composées par ses élèves, elle les réprimanda :
Le problème avec « anecdote » est double : suggère l'oralité + quelque chose de secondaire – alors que pour elles, c'est manifestement de la plus haute importance.
Je pense qu'on va devoir faire l'impasse sur ce qu'il y a dans « experiencias escritas »… Ce genre de renoncement n'est pas fréquent, mais il faut s'y faire.
Perrine : « Qu'est-ce que tu entends par "faire l'impasse" ? » Eh bien renoncé à rendre l'idée « d'expérience personne… » pour s'en tenir au fait qu'il y a récit.
Elena : Et, après avoir entendu les récits du vécu personnel composés par ses élèves, elle les réprimanda :
Non, il faut vraiment oublier cette « expression » « le vécu »… – « mon vécu… ».
Je vous propose (vous me confirmez que je n'introduis pas de répétition et que ça vous convient) : Et, après avoir entendu la lecture des textes très personnels de ses élèves, elle les réprimanda :
22 commentaires:
Et au moment d'entendre les narrations de ses élèves, elle les réprimanda :
« Au moment d'entendre » = juste avant de…
Or là, ça n'est pas le cas.
Et, juste après avoir entendu les narrations de ses élèves, elle les critiqua :
Je pense qu'il s'agit là plus d'une critique que d'une réprimande, j'ai l'impression qu'il y a une espèce de reproche dans la phrase qui suit, qu'en pensez-vous ?
Et, lorsqu'elle a entendu les narrations de ses élèves, elle les réprimanda :
Je voulais éviter le gérondif. Je croyais que "au moment où" marquait la simultanéité…
1) Ok pour « après avoir entendu », mais sans le « juste » – inutile.
2) Pour « experiencias escritas » ; je me demande si vous ne devriez pas quand même vous rapprocher un peu de la V.O.
3) Non, justement, je crois que « réprimander » est adapté…
2) Je pense qu'Elena est passée par "narrations" pour éviter la répétition d'"expériences". Moi, j'avais pensé à "récits".
3) OK, je n'avais pas compris dans ce sens-là.
Et, après avoir entendu les récits de ses élèves, elle les réprimanda :
2) Oui, tout à fait, Perrine.
3) Je pense que "réprimander" est bien dans le sens où, un peu jalouse, elle veut reprendre possession de SA classe.
Et, après avoir entendu les récits de ses élèves, elle les réprimanda :
Décidément, je reviens à cette histoire de « experiencias escritas »… ; ok, on ne met pas « expériences » (outre le problème de la répétition, ça ne va pas bien), mais je pense qu'il est important de dire que ce sont des choses qu'elles ont vécues. Je ne sais pas si je suis claire. Ce ne sont pas de simples récits, justement.
Et, après avoir entendu les récits empiriques écrits par ses élèves, elle les réprimanda :
Non, « empiriques » n'a pas cette valeur en français…
Peut-être avec quelque chose comme « personnel… »
"intimes" ?
N'oublie pas de le mettre dans la phrase – pour que je me rende vraiment compte…
Que pensez-vous de :
Et, après avoir entendu les histoires personnelles composées par ses élèves, elle les réprimanda :
?
Oui, c'est bien, mais nous avons déjà "histoires" quelques lignes plus haut...
Et si on mettait "anecdote" ?
Et, après avoir entendu les anecdotes personnelles composées par ses élèves, elle les réprimanda :
Et, après avoir entendu les anecdotes personnelles composées par ses élèves, elle les réprimanda :
Le problème avec « anecdote » est double : suggère l'oralité + quelque chose de secondaire – alors que pour elles, c'est manifestement de la plus haute importance.
Je pense qu'on va devoir faire l'impasse sur ce qu'il y a dans « experiencias escritas »… Ce genre de renoncement n'est pas fréquent, mais il faut s'y faire.
Que me proposez-vous à la place ?
Qu'est-ce que tu entends par "faire l'impasse" ?
Et, après avoir entendu les récits du vécu personnel composés par ses élèves, elle les réprimanda :
Perrine : « Qu'est-ce que tu entends par "faire l'impasse" ? »
Eh bien renoncé à rendre l'idée « d'expérience personne… » pour s'en tenir au fait qu'il y a récit.
Elena :
Et, après avoir entendu les récits du vécu personnel composés par ses élèves, elle les réprimanda :
Non, il faut vraiment oublier cette « expression » « le vécu »… – « mon vécu… ».
Je vous propose (vous me confirmez que je n'introduis pas de répétition et que ça vous convient) :
Et, après avoir entendu la lecture des textes très personnels de ses élèves, elle les réprimanda :
Et, après avoir entendu la lecture des textes très personnels de ses élèves, elle les réprimanda :
Nous avons deux fois le mot "lecture".
Et, après avoir entendu les textes très personnels de ses élèves, elle les réprimanda :
OK ?
Malheureusement, "lecture" apparaît déjà deux fois dans le premier paragraphe.
Et si on mettait :
Et, après avoir entendu les textes très personnels composés par ses élèves, elle les réprimanda :
?
Perrine, nos commentaires se sont croisés…
Nous sommes d'accord, alors ? Elena ?
Oui, c'est bien !
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