Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
jeudi 26 avril 2012
Message à l'attention de Vanessa et Justine
Alors, que fait-on pour la nouvelle de Rafael – avec cette complexe histoire de la citation fantôme ? Où en êtes-vous de vos recherches ? Ou, le cas échéant, de vos réflexions sur la meilleure solution à adopter en cas d'échec ?
5 commentaires:
Justine
a dit…
Pour ma part, j'ai commencé à parcourir une version papier, mais pour l'instant je ne trouve pas mention de cette citation…
Peut-on prendre le risque de formuler notre propre traduction ?
INTERDIT !!!!!! Ce serait dans une autre langue (et encore, le mieux, dans ce cas, est de prendre la traduction officielle et de s'y tenir), mais là, c'est en français et tu traduis vers le français… donc il faut la version originale, évidemment. Tu ne peux pas mettre en bouche d'un penseur tel La Bruyère une traduction en français de ses propos traduits en espagnol !!!!! Allons ! N'importe quel spécialiste de la traduction te dirait que c'est une hérésie. La Bruyère dit ce qu'il dit et non une phrase approximative… Le problème, c'est ces citations sous forme de clichés que l'on reprend tous à un moment ou à un autre pour donner une dimension érudite à nos textes alors que manifestement on ignore le référent original… et son contexte ;-)
Pareil pour moi, la version papier ne donne rien pour l'instant...
Comme solution en cas d'échec, je propose de se servir d'une autre citation de La Bruyère approchante au niveau du sens, si tant est qu'il en existe une, ou bien de se servir, dans le même ordre d'idée, d'une citation d'un autre auteur mais qui a le même sens. (Je crois avoir vu passer au cours de mes recherches une citation de Montaigne au sens à peu près identique, mais je ne l'avais pas notée...) Ces solutions de "compensation" sont-elles envisageables en tant que traducteur ?
Il faut demander à l'auteur ce qu'il en pense… mais je ne crois pas qu'il aient répondu à mes dernières sollicitations. Laissons-nous encore une petite semaine et faisons-lui un mail…
5 commentaires:
Pour ma part, j'ai commencé à parcourir une version papier, mais pour l'instant je ne trouve pas mention de cette citation…
Peut-on prendre le risque de formuler notre propre traduction ?
INTERDIT !!!!!! Ce serait dans une autre langue (et encore, le mieux, dans ce cas, est de prendre la traduction officielle et de s'y tenir), mais là, c'est en français et tu traduis vers le français… donc il faut la version originale, évidemment. Tu ne peux pas mettre en bouche d'un penseur tel La Bruyère une traduction en français de ses propos traduits en espagnol !!!!! Allons ! N'importe quel spécialiste de la traduction te dirait que c'est une hérésie. La Bruyère dit ce qu'il dit et non une phrase approximative… Le problème, c'est ces citations sous forme de clichés que l'on reprend tous à un moment ou à un autre pour donner une dimension érudite à nos textes alors que manifestement on ignore le référent original… et son contexte ;-)
Pareil pour moi, la version papier ne donne rien pour l'instant...
Comme solution en cas d'échec, je propose de se servir d'une autre citation de La Bruyère approchante au niveau du sens, si tant est qu'il en existe une, ou bien de se servir, dans le même ordre d'idée, d'une citation d'un autre auteur mais qui a le même sens. (Je crois avoir vu passer au cours de mes recherches une citation de Montaigne au sens à peu près identique, mais je ne l'avais pas notée...)
Ces solutions de "compensation" sont-elles envisageables en tant que traducteur ?
Il faut demander à l'auteur ce qu'il en pense… mais je ne crois pas qu'il aient répondu à mes dernières sollicitations. Laissons-nous encore une petite semaine et faisons-lui un mail…
D'accord. En attendant, je vais chercher quelques citations "de rechange".
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