Bruno Loth. J’ai toujours fais de la BD sans être publié, et pour gagner ma vie j’ai travaillé comme illustrateur free-lance pour des agences. En 2006 en lançant mon édition de ERMO je réalisais mon rêve…
C’est en discutant avec mon beau père, espagnol qui s’engagea en 36 dans un bataillon anarchiste que je commence à m’intéresser à l’histoire de la guerre d’Espagne, après sa mort, j’ai voulu lui rendre hommage et écrit à ce moment là cette histoire. Ça fait aujourd’hui 30 ans que je m’intéresse au sujet.
Une collaboratrice de l’éditeur à repairé ma BD lors du salon d’Angoulème.
Pas pour le moment.
Oui, par des Allemands, je crois savoir que la BD est peu usitée dans leur pays et que profitant des vacances en France les lecteurs de BD en profitent pour faire leurs emplettes !
Etant donné que je n’ai été traduit que par un seul traducteur, en espagnol, je n’ai pas grande expérience, mais les relations que j’ai eu avec Javier, mon traducteur, furent très bonne et très intéressantes, certaines expressions populaire vieillottes lui ont posé des problèmes, mais il les a résolu en demandant à sa grand-mère quel mot corespondrait et du coup la BD reste dans le ton…
7) Avez-vous des traducteurs « attitrés » ?
Non
8) Maîtrisez-vous d’autres langues étrangères ? Vous êtes-vous déjà essayé à la traduction ?
Non
9) Avez-vous déjà lu les traductions de vos ouvrages ? Si oui, qu’en pensez-vous ? Trouvez-vous certains passages réécrits ?
Oui, j’ai lu mon livre en castillan et j’ai adoré, j’ai même trouvé que la traduction apportait vraiment à la véracité du récit car Ermo est un petit garçon espagnol, il parle donc en espagnol dans mes rêves quand j’imagine ses aventures. En lisant la BD en espagnole à aucun moment je me suis dit qu’il s’agissait d’une traduction. Mais j’avais l’impression de lire l’original.
Non
Non
Oui, j’ai lu mon livre en castillan et j’ai adoré, j’ai même trouvé que la traduction apportait vraiment à la véracité du récit car Ermo est un petit garçon espagnol, il parle donc en espagnol dans mes rêves quand j’imagine ses aventures. En lisant la BD en espagnole à aucun moment je me suis dit qu’il s’agissait d’une traduction. Mais j’avais l’impression de lire l’original.
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