Y entonces ella se levanta y empieza a caminar a toda marcha, y yo voy detrás sin entender y una cuadra después le doy el alcance y la sujeto por los brazos con fuerza y la beso. Y ella llora mientras se deja besar y me dice que tenemos que escapar.
Traduction temporaire :
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle ; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut fuir.
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle ; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut fuir.
10 commentaires:
Annelise L
Alors elle se lève et commence à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière et un paté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens avec force par les bras et je l'embrasse. Et elle pleure tandis qu'elle se laisse embrasser en me disant qu'il faut s'échapper.
Alors elle se lève et commence [ou « se met » ? Ça dépend un peu de ce qui précède ; l'avez-vous déjà ?] à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière [cheville : « elle » ?] et [virgule] un paté [coquille] de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens avec force par les bras [naturel ?] et je l'embrasse. Et [vous l'avez juste avant ; du coup, pas génial] elle pleure tandis qu'elle se laisse embrasser [essayez de ne pas répéter] en me disant qu'il faut s'échapper.
Annelise L
Alors elle se lève et se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle et, un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Et elle pleure tandis qu'elle se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper.
Alors elle se lève et se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle et, un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Et elle pleure tandis qu'elle se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper.
Pas mal… mais trop de « et » dans tout ça.
Annelise L
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle et, un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure tandis qu'elle se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper.
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle et, [un simple point-virgule ?] un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure tandis qu'elle [lourd et pas utile // simplifiez] se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper.
Annelise L
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper.
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle[espace avant les signes de ponctuation forts]; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut s'échapper [ou « fuir » / « s'enfuir » ?].
Annelise L
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle ; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut fuir.
Alors elle se lève, se met à marcher à toute vitesse et moi, sans comprendre, je suis derrière elle ; un pâté de maisons plus loin, je parviens à la rattraper, je la maintiens fermement par les épaules, puis l'embrasse. Elle pleure mais se laisse faire, en me disant qu'il faut fuir.
OK.
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