lundi 5 mai 2014

Projet Elena 7 – phrase 43

En nuestro campo, muy apartado de la ciudad, nunca llovía, vivíamos de crédito en crédito, y mi padre, fuera de la máquina de escribir, se consideraba a sí mismo un campesino arruinado que salía a la terraza a otear sin esperanzas el cielo, leía a Hegel y a Marx y redactaba, también sin esperanzas, el programa de reforma agraria de un partido comunista. 

Traduction temporaire :
Dans notre propriété, très à l'écart de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous subsistions grâce aux prêts qui s'enchaînaient les uns derrière les autres, et mon père, mis à part sa machine à écrire, se considérait lui-même comme un paysan ruiné, qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, lisait Hegel et Marx et rédigeait, également sans espoir, le programme de la reforme agraire du parti communiste.

6 commentaires:

Elena a dit…

Dans notre propriété, très éloignée de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous vivions à force de prêts, et mon père, mis à part la machine à écrire, se considérait lui-même un paysan ruiné qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, qui lisait Hegel et Marx et qui rédigeait, sans espoir également, le programme de reforme agraire du parti communiste.

Tradabordo a dit…

Dans notre propriété, très éloignée [ou « à l'écart » ? Je te laisse voir en fonction de l'ensemble du texte] de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous vivions à force de prêts [incorrect ; tu ne peux pas le construire comme ça], et mon père, mis à part la machine à écrire, se considérait lui-même [manque qqchose ici] un paysan ruiné [virgule ?] qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, qui lisait Hegel et Marx et qui rédigeait, sans espoir également [avance-le], le programme de reforme agraire du parti communiste.

Elena a dit…

Dans notre propriété, très à l'écart de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous subsistions grâce aux prêts, et mon père, mis à part la machine à écrire, se considérait lui-même comme un paysan ruiné, qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, qui lisait Hegel et Marx et qui rédigeait, également sans espoir, le programme de reforme agraire du parti communiste.

Tradabordo a dit…

Dans notre propriété, très à l'écart de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous subsistions grâce aux prêts [cheville : « qui s'enchaînaient les uns derrière les autres »], et mon père, mis à part la [possessif ?] machine à écrire, se considérait lui-même comme un paysan ruiné, qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, qui [supprime] lisait Hegel et Marx et qui [idem] rédigeait, également sans espoir, le programme de [« la » ?] reforme agraire du parti communiste.

Elena a dit…

Dans notre propriété, très à l'écart de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous subsistions grâce aux prêts qui s'enchaînaient les uns derrière les autres, et mon père, mis à part sa machine à écrire, se considérait lui-même comme un paysan ruiné, qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, lisait Hegel et Marx et rédigeait, également sans espoir, le programme de la reforme agraire du parti communiste.

Tradabordo a dit…

Dans notre propriété, très à l'écart de la ville, il ne pleuvait jamais. Nous subsistions grâce aux prêts qui s'enchaînaient les uns derrière les autres, et mon père, mis à part sa machine à écrire, se considérait lui-même comme un paysan ruiné, qui sortait sur la terrasse pour scruter le ciel sans espoir, lisait Hegel et Marx et rédigeait, également sans espoir, le programme de la reforme agraire du parti communiste.

OK.