Mi padre le hizo una seña a mi madre para que le diera su pastilla y lo vimos retirarse de la mesa hacia su cuarto, arrastrando las pantuflas, como un fantasma derrotado. Yo insistí, para quebrar el silencio.
--¿Pero de verdad papá pensás que no puede haber alguien totalmente feliz?
Mi padre pareció dudar, trató de recobrar su tono irónico de siempre y me apuntó con un dedo.
--Si quieres ser feliz, como me dices,… no analices, muchacho, no analices.
Traduction temporaire :
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous le vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant ses pantoufles, tel un fantôme anéanti. Je m'entêtai à briser le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut y avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me désigna du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis…, ne fais pas d'analyses, mon garçon, ne fais pas d'analyses.
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Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et il sortit de table pour aller dans sa chambre, en traînant des pieds, tel un fantôme abattu. J'insistai pour rompre le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut exister quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla douter, essaya de reprendre son ton ironique de toujours et me pointa du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis, …ne fait pas d'analyses, mon garçon, ne fait pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et il sortit de table pour aller [pourquoi tu changes ?] dans sa chambre, en traînant des pieds, tel un fantôme abattu [vraiment le sens ? Cela dit, pas facile autrement… mais essaie quand même de voir dans les synonymes]. J'insistai pour rompre le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut exister [littéral… d'autant que ça évitera un énième « exister »] quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla douter [« hésiter » ?], essaya de reprendre son ton ironique de toujours [avec un adjectif] et me pointa [un synonyme] du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis, …ne fait pas d'analyses, mon garçon, ne fait pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous les vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant des pieds, tel un fantôme anéanti. J'insistai pour rompre le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me montra du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis, …ne fait pas d'analyses, mon garçon, ne fait pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous les vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant des pieds [pourquoi tu changes ?], tel un fantôme anéanti. J'insistai pour [ou dans le sens de « s'entêter à » ?] rompre le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut [manque quelque chose ici] avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me montra [il y a mieux] du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis, [pas d'espace] …[espace]ne fait [grammaire] pas d'analyses, mon garçon, ne fait pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous les vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant ses pantoufles, tel un fantôme anéanti. Je m'entêtai à rompre le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut y avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me signala du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis,… ne fais pas d'analyses, mon garçon, ne fais pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous les [?] vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant ses pantoufles, tel un fantôme anéanti. Je m'entêtai à rompre [« briser »] le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut y avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me signala [non plus] du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis…, ne fais pas d'analyses, mon garçon, ne fais pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous le vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant ses pantoufles, tel un fantôme anéanti. Je m'entêtai à briser le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut y avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me désigna du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis…, ne fais pas d'analyses, mon garçon, ne fais pas d'analyses.
Mon père fit un signe à ma mère pour qu'elle lui donne son cachet et nous le vîmes sortir de table pour aller dans sa chambre, en traînant ses pantoufles, tel un fantôme anéanti. Je m'entêtai à briser le silence :
— Mais sincèrement, papa, tu penses qu'il ne peut y avoir quelqu'un de complètement heureux ?
Mon père sembla hésiter, essaya de reprendre son ton ironique habituel et me désigna du doigt.
— Si tu veux être heureux, comme tu dis…, ne fais pas d'analyses, mon garçon, ne fais pas d'analyses.
OK.
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