jeudi 1 mai 2014

Projet Élise 3 – phrases 62-68

— De acuerdo, murmuró justo a tiempo.
¿De acuerdo en qué? dijo la mujer, secamente. A Zebrel le dio la impresión de que la que había hablado era otra persona.
— Acepto el dolor como una bendición. Golpeo con mi puño sangrante la puerta de la Morada y siento vibrar la Salvación en mi corazón. Le doy la bienvenida al sufrimiento y espero ser merecedor de la paz. ¡Suélteme!

Traduction temporaire :
— D'accord, murmura-t-il juste à temps. 
— D'accord quoi ? rétorqua sèchement la femme. Zebrel eut l'impression que c'était une autre personne qui avait parlé. 

— J'accepte la douleur comme une bénédiction. Je frappe avec mon poing sanglant à la porte de la Demeure et je sens le Salut vibrer dans mon cœur. Je souhaite la bienvenue à la souffrance et j'espère que je mérite la paix. Lâchez-moi !

2 commentaires:

Unknown a dit…

— D'accord, murmura-t-il juste à temps.
— D'accord quoi ? rétorqua sèchement la femme. Zebrel eut l'impression que c'était une autre personne qui avait parlé.
— J'accepte la douleur comme une bénédiction. Je frappe avec mon poing sanglant à la porte de la Demeure et je sens le Salut vibrer dans mon cœur. Je souhaite la bienvenue à la souffrance et j'espère que je mérite la paix. Lâchez-moi !

Tradabordo a dit…

— D'accord, murmura-t-il juste à temps.
— D'accord quoi ? rétorqua sèchement la femme. Zebrel eut l'impression que c'était une autre personne qui avait parlé.
— J'accepte la douleur comme une bénédiction. Je frappe avec mon poing sanglant à la porte de la Demeure et je sens le Salut vibrer dans mon cœur. Je souhaite la bienvenue à la souffrance et j'espère que je mérite la paix. Lâchez-moi !

OK.