lundi 5 mai 2014

Projet Hélène 2 – phrases 32-34

Hasta donde tiene recuerdo, ha quedado una mueca que Capitán Nemo apaciguó con complicidad, pero también con una velada molestia. Tiempo después Guilherme aún recuerda su malestar, pero por motivos distintos. Esa tarde, frente a la isla, no pescó nada.

Traduction temporaire :
Aussi loin qu'il se souvienne, la grimace de son père, telle qu'il l'avait gardée en mémoire, fut effacée avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée, par le Capitaine Némo. C'est pour d'autres raisons que, longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être. Cet après-midi-là, en face de l’île, il n'avait rien pêché rien.

11 commentaires:

Hélène a dit…

Dans ses lointains souvenirs, il est resté une grimace que Capitaine Némo apaisa avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se souvient encore de son mal-être, mais pour différentes raisons. Cet après-midi-là, face à l’île, il ne pêcha rien.

Tradabordo a dit…

Dans ses lointains souvenirs [pourquoi tu t'éloignes de la V.O. ? Passe par « Aussi loi,………… »], il est resté une grimace que Capitaine Némo apaisa avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se souvient encore de son mal-être, mais pour différentes raisons. Cet après-midi-là, face à l’île, il ne pêcha rien.

Hélène a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, il reste une grimace que Capitaine Némo apaisa avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être, mais pour des raisons différentes. Cet après-midi-là, face à l’île, il ne pêcha rien.

Tradabordo a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, il reste une grimace que Capitaine Némo apaisa [« effaça » ?] avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être, mais [trop de « mais » // il faut que tu fasses un peu de ménage] pour des raisons différentes. Cet après-midi-là, face [ou « en face de » ?] à l’île, il ne pêcha rien.

Hélène a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, il reste une grimace que Capitaine Némo effaça avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être, bien que ["cette fois-ci", cheville ?] ce soit pour des raisons différentes. Cet après-midi-là, en face de l’île, il ne pêcha rien.

Tradabordo a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, il reste une grimace que Capitaine Némo effaça avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée. Longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être, bien que ["cette fois-ci", cheville ? En fait, je ne me suis plus du tout de quoi parle de ton texte et je ne comprends pas grand-chose…, surtout les différentes couches du temps. Explique brièvement] ce soit pour des raisons différentes. Cet après-midi-là, en face de l’île, il ne pêcha rien.

Hélène a dit…

Guilherme raconte ses souvenirs d'enfance et notamment ses parties de pêche aux côtés de son père, Luizinho, et d'un ami de celui-ci, Guiraldes (Capitaine Némo). La difficulté dans cette phrase est que les trois personnages jouent un rôle :
Guilherme se souvient ; celui qui fait la grimace est le père (au sourire triste et aux sombres pensées); Capitaine Némo essaie d'apaiser la grimace du père qui n'a rien pêché en face de l'île, contrairement aux deux autres restés dans le canot. Plus j'y pense et je me dis que dans ce contexte, "effacer" ne convient pas. Pour "cette fois-ci", je faisais fausse route. Je reprends, mais je crois que je suis obligée d'opérer quelques changements si l'on veut bien comprendre. Tu me diras si je m'éloigne trop :

Aussi loin qu'il se souvienne, le Capitaine Némo apaisa avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée, la grimace de son père qu'il avait gardée en mémoire. C'est pour d'autres raisons que longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être. Cet après-midi-là, en face de l’île, il ne pêcha rien.

À la ligne suivante, on est replongé dans le présent de Guilherme. Son père vient de mourir, d'où le début du récit avec ses souvenirs...

Tradabordo a dit…

OK, merci.

Aussi loin qu'il se souvienne, le Capitaine Némo apaisa [pourquoi tu remets « apaisa » ?] avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée, la grimace de son père qu'il [explicite un peu… sinon, c'est vraiment trop confus] avait gardée en mémoire. C'est pour d'autres raisons que [virgule] longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être. Cet après-midi-là, en face de l’île, il ne pêcha [ou PQP ?] rien.

Hélène a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, la grimace de son père, telle qu'il l'avait gardée en mémoire, fut effacée avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée, par le Capitaine Némo. C'est pour d'autres raisons que, longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être. Cet après-midi-là, en face de l’île, il n'avait rien pêché rien.

Tradabordo a dit…

Aussi loin qu'il se souvienne, la grimace de son père, telle qu'il l'avait gardée en mémoire, fut effacée avec complicité, mais aussi avec une gêne dissimulée, par le Capitaine Némo. C'est pour d'autres raisons que, longtemps après, Guilherme se rappelle encore son mal-être. Cet après-midi-là, en face de l’île, il n'avait rien pêché rien.

OK… Là, c'est très bien. Conclusion : maintenant que nous voyons la « particularité » de ce texte, tu prends plus rapidement les choses en main ;-)

Hélène a dit…

Entendu :)