mardi 13 mai 2014

Projet Jennifer – phrases 162-163

Su cadáver empezaba a oler mal y una capa de polvo cubría su vestido negro. Sus ojos, todavía llorosos, se veían confundidos en el limbo que ahora viviría sin la tía Leonor.

FIN

Traduction temporaire :

Son cadavre commençait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, encore larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes où il lui faudrait vivre sans tante Leonor.

FIN

9 commentaires:

Unknown a dit…

Son cadavre comencait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux toujours larmoyants se voyaient confondus dans le limbe qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Son cadavre comencait [orthographe] à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux [ponctuation] toujours [mal dit ici] larmoyants [ponctuation] se voyaient confondus [peu clair] dans le limbe [singulier ?] qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Son cadavre començait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, toujours [mal dit ici] larmoyants, se voyaient confondus [peu clair] dans les limbes qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

[On avait la même phrase quelques lignes auparavant, on ne garde pas la même ?]

Unknown a dit…

Son cadavre començait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, toujours aussi larmoyants, se voyaient troublés dans les limbes qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Son cadavre començait [orthographe] à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, toujours aussi larmoyants, se voyaient [non… ça, tu l'as déjà eu. Souviens-toi + le dirais-tu spontanément en français ? Recompose le français et te dégageant de l'espagnol] troublés dans les limbes qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Son cadavre commençait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, toujours aussi larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Son cadavre commençait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, toujours aussi [pas en V.O.] larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes qu'elle vivrait désormais sans la tante Leonor [un peu d'aide : « perdus dans les limbes où il lui faudrait vivre sans tante Leonor »].

FIN

Unknown a dit…

Son cadavre commençait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, pour toujours larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes où il lui faudrait vivre sans tante Leonor.

FIN

Tradabordo a dit…

J'ai fait une petite modif et OK.

Son cadavre commençait à sentir mauvais et une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses yeux, encore larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes où il lui faudrait vivre sans tante Leonor.

FIN