Me quedé observándolo un largo rato como corría, como bateaba, sin complejos... Ese día aprendí, que era la fuerza de voluntad.
Traduction temporaire :
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de volonté.
15 commentaires:
Je restais là, l'observant un long moment, courir, frapper dans la balle, sans complexe... Ce jour là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restais [temps] là, l'observant [il y a mieux que le gérondif ici] un long moment, courir, frapper dans la balle, sans complexe... Ce jour là [orthographe], j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai là, à l'observer un long moment, courir, frapper dans la balle, sans complexe... Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai là, à l'observer un long moment, courir, frapper dans la balle, sans complexe... Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai [cheville : « plantée » ? Comme vous voulez] là, à l'observer un long moment, [« tandis qu'il …………… » ?]courir, frapper dans la balle, sans complexe... Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe... Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe... [le raccourci clavier pour les points de suspension] Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de la [nécessaire ? Vérifier l'usage] volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris ce qu’était la force de volonté.
Je restai plantée là, à l'observer un long moment, tandis qu'il courait, frappait dans la balle, sans complexe… Ce jour-là, j'appris qu'il s'agissait d'une force de volonté. [je pense que si nous mettons "ce qu'était la force de volonté" nous ne gardons pas le sens de la phrase originale car la fille fait un constat de la force du gamin à se battre plus que le fait d'apprendre ce que veut dire la force de volonté]
Margaux, votre avis sur la remarque de Miroslaba ?
Je ne suis pas vraiment d'accord, et je trouve la phrase un peu bancale... Il me semble que c'est au travers de ce que fait le garçon (se surpasser malgré son handicap) que cela lui montre, à elle, ce que peut être la force de volonté mais en général ; lui est un exemple qui illustre cela. Je ne sais pas si je suis très clair...!
J'avoue être assez d'accord avec Margaux… À travers ce cas particulier, elle comprend ce que peut la volonté en général. Miroslaba ?
Vos explications refletent ce que je voulais dire ; donc, c'est bon :)
Enregistrer un commentaire