—No grite.
Las dos palabras, sordas, amansadas por incontables muros de lana, le llegaron desde la derecha. Se detuvo, a la expectativa. Entonces no estaba solo. Entonces había algo más que oscuridad.
—Ahora se va a enterar —dijo otra voz, filosa, chirriante, llegando desde la izquierda.
—¿La noticia buena o la mala?
—Siempre el mismo chiste. Está gastado.
—Pero es efectivo.
Traduction temporaire :
— Ne criez pas. Ces trois mots, sourds, atténués par d'innombrables murs de laine de verre lui parvinrent depuis sa droite. Il s'arrêta, dans l'expectative. Alors il n'était pas seul. Alors il y avait autre chose que l'obscurité.
— Maintenant, il va comprendre, lança une autre voix, aiguë, grinçante, sur sa gauche.
— La bonne ou la mauvaise nouvelle ?
— Toujours la même blague. C'est du déjà-vu.
— Mais ça marche.
4 commentaires:
— Ne criez pas. Ces deux mots, sourds, atténués par d'innombrables murs de laine lui parvinrent depuis sa droite. Il s'arrêta, dans l'expectative. Alors il n'était pas seul. Alors il y avait autre chose que l'obscurité.
— Maintenant, il va comprendre, dit une autre voix, aiguë, grinçante, venant de sa gauche.
— La bonne ou la mauvaise nouvelle ?
— Toujours la même blague. C'est du déjà-vu.
— Mais ça marche.
— Ne criez pas. Ces deux [« trois » ? Un basique ;-)] mots, sourds, atténués par d'innombrables murs de laine [on dit comme ça ?] lui parvinrent depuis sa droite. Il s'arrêta, dans l'expectative. Alors il n'était pas seul. Alors il y avait autre chose que l'obscurité.
— Maintenant, il va comprendre, dit [« lança » ?] une autre voix, aiguë, grinçante, venant de [« sur » ?] sa gauche.
— La bonne ou la mauvaise nouvelle ?
— Toujours la même blague. C'est du déjà-vu [sûre pour le tiret ?].
— Mais ça marche.
— Ne criez pas. Ces trois mots, sourds, atténués par d'innombrables murs de laine de verre lui parvinrent depuis sa droite. Il s'arrêta, dans l'expectative. Alors il n'était pas seul. Alors il y avait autre chose que l'obscurité.
— Maintenant, il va comprendre, lança une autre voix, aiguë, grinçante, sur sa gauche.
— La bonne ou la mauvaise nouvelle ?
— Toujours la même blague. C'est du déjà-vu.
— Mais ça marche.
— Ne criez pas. Ces trois mots, sourds, atténués par d'innombrables murs de laine de verre lui parvinrent depuis sa droite. Il s'arrêta, dans l'expectative. Alors il n'était pas seul. Alors il y avait autre chose que l'obscurité.
— Maintenant, il va comprendre, lança une autre voix, aiguë, grinçante, sur sa gauche.
— La bonne ou la mauvaise nouvelle ?
— Toujours la même blague. C'est du déjà-vu.
— Mais ça marche.
OK.
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