Llegar a Buenos Aires, Constitución y otro tren hasta Morón, los tíos, los primos, dos o tres días de juegos y reencuentros, qué alta está esta chica, Ñata, ha crecido un montón... mamá miraba el ruedo de los vestiditos, apenas si dos centímetros más, tan chiquita la nena y de nuevo el tren, el chucu chucu largo como una letanía acercándose al pueblo, los abuelos en el andén, ojos húmedos, cuántos meses, un año ya. Entonces el mateo, la casa, la risa de mis tías, el jolgorio del mate de la Sebastiana y la sillita petisa esperándome, como todos los años, para el mate que vendría "cuando terminen los grandes”.
Traduction temporaire :
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
10 commentaires:
Arriver à Buenos Aires, Constitución et un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, qu'elle est grande cette jeune fille, Ñata, elle a bien grandi... maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, pas si grande la petite, et de nouveau le train, le tchoutchou long comme une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, la calèche, la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la toute petite chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait “quand les grands auront fini”.
Arriver à Buenos Aires, Constitución [virgule ?] et [ou « puis » pour qu'on comprenne bien qu'il s'agit d'un parcours… ?] un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, qu'elle est grande cette jeune fille, Ñata [syntaxe bizarre, non ? Je trouve que tu coup, ça manque peut-être un peu de clarté, non ?], elle a bien grandi... maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, pas si grande la petite, et de nouveau le train, le tchoutchou long comme une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, la calèche, la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la toute petite chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait “quand les grands auront fini”.
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est ce qu'elle est grande cette fille là, elle a beaucoup grandi... maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou long comme une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, la calèche, la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la toute petite chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est ce [tiret] qu'elle est grande cette fille là [pas nécessaire, à mon avis ou alors tiret : cette fille-là], elle a beaucoup grandi... [trouvez le raccourci clavier des points de suspension] maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou long comme [ou « aussi que » ? Essayez…] une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, la calèche [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux, je veux être certaine que vous avez bien cherché… Je suis du genre à me faire du souci quand il y a du lexique un peu « typé »], la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la toute petite [vous avez déjà « petite » avant ; il faut changer ici] chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
mais j'étais en plein déménagement…
Concernant le "mateo", je l'ai trouvé une fois en français en tant que "mateo" dans un guide de voyage. Cela correspond à des calèches, qui portent le nom de "mateo" suite au succès d'une pièce de théâtre portant sur la vie d'un cocher dans les années 20. Je ne sais pas si l'on conserve le nom de "'mateo" qui correspond à une spécificité argentine, et en particulier de Buenos Aires ; ou si l'on utilise le terme "calèche". Sinon on peut opter pour l'explication : "la calèche, portant le nom de mateo" , ou quelque chose comme ça.
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande cette fille, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande cette fille [nécessaire ?], elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
OK.
Arriver à Buenos Aires, Constitución, puis un autre train jusqu'à Morón, l'oncle et la tante, les cousins et cousines, deux ou trois jours de jeux et retrouvailles, Ñata, qu'est-ce qu'elle est grande, elle a beaucoup grandi… maman regardait l'ourlet des robes, à peine deux centimètres de plus, tellement petite la gamine, et de nouveau le train, le tchoutchou aussi long qu'une litanie s'approchant du village, les grands-parents sur le quai, les yeux humides, combien de mois, un an déjà. Et alors, cette calèche qu'on appelle « mateo », la maison, le rire de mes tantes, la fête du maté de Sebastiana et la minuscule chaise qui m'attendait, comme tous les ans, pour le maté, qui arriverait « quand les grands auront fini ».
OK.
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OK.
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