Elda Durán (Argentine)
Desde otras aguas
…para ella, mi abuela
Dieciséis años tenía la Sebastiana cuando le dijo adiós a su tierra y se embarcó hacia la América del genovés y las cuentas de colores. Atrás quedaron los padres y el novio con el que estrenó el no, tan extraño en las mujeres de esa época. Fue un ¡basta! silencioso y dolorido el que le inauguró el futuro.
Traduction temporaire :
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et des perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; ce ça suffit !, silencieux et douloureux, inaugura son avenir.
Elda Durán (Argentine)
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et des perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; ce ça suffit !, silencieux et douloureux, inaugura son avenir.
6 commentaires:
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
La Sebastiana avait seize ans quand elle dit adieu à sa terre natale et s'embarqua vers l'Amérique du Gênois et les perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, réponse si étrange chez les femmes de son époque. Ce fut un “ça suffit !” silencieux et douloureux qui inaugura le reste de sa vie.
Bonjour Alison,
Pensez à signer vos commentaires – que je sois bien certaine qu'ils sont de vous ;-)
***
Nom de l'auteur et pays – le but est qu'ensuite, je n'ai plus qu'à faire un copier-coller rapide.
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
La [adapté au français ?] Sebastiana avait seize ans quand elle dit [ou « fit ses adieux » ? Les deux sont bien, donc c'est comme vous voulez… Pesez le pour et le contre de chacune des solutions et tranchez…] adieu à sa terre natale et s'embarqua vers [« pour » ?] l'Amérique du Gênois [accent ?] et les perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami ou littéral ?], le premier à qui elle avait dit [voilà ; comme vous avez « dire » ici, autant mettre autre chose plus haut… Ça évitera une répétition] non, réponse [ajout nécessaire ?] si étrange [pas dans le sens de « rare » ? Je vous laisse réfléchir et voir…] chez les femmes de son époque. [avec un simple point-virgule ?] Ce fut [nécessaire ?] un “ça suffit !” [ajout des guillemets nécessaire ?] silencieux et douloureux qui inaugura le reste de sa vie.
Elda Durán (Argentine)
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et les perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; un ça suffit ! silencieux et douloureux inaugura le reste de sa vie.
Comme demandé : signez vos commentaires.
Elda Durán (Argentine)
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et les [ou « des » ?] perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; un [« ce » ?] ça suffit ! [virgule ?] silencieux et douloureux [virgule] inaugura le reste de sa vie [pas ce que dit la V.O.].
(Comme demandé : signez vos commentaires. [excusez-moi, je pensais l'avoir fait mais je viens seulement de comprendre qu'il fallait que je modifie mes paramètres de compte Google +, maintenant ça devrait fonctionner correctement ;-)])
Elda Durán (Argentine)
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et des perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; ce ça suffit !, silencieux et douloureux, inaugura son avenir.
Elda Durán (Argentine)
Depuis d'autres rivages
… pour elle, ma grand-mère
Sebastiana avait seize ans quand elle fit ses adieux à sa terre natale et s'embarqua pour l'Amérique du Génois et des perles de couleurs. Elle laissa derrière elle ses parents et son petit-ami, le premier à qui elle avait dit non, fait rare chez les femmes de son époque ; ce ça suffit !, silencieux et douloureux, inaugura son avenir.
OK.
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