Sin brazos, sin piernas. Humor negro.
—¿Quiénes son ustedes?
Las voces se apagaron un momento. Y luego, tras alisar un papel arrugado en la garganta, el de la izquierda dijo:
—Faso, me dicen Faso. Antes me llamaba de otro modo. Pero nadie conserva los viejos nombres en este lugar.
—Yo me llamo Zebrel, Guido Zebrel, y no veo por qué tendría que perder mi nombre de toda la vida.
—Se equivoca. Ya verá por qué —dijo el de la derecha.
—O no —dijo Faso.
Traduction temporaire :
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
— Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
5 commentaires:
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ? Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier plié dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom ici.
— Moi c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez bien pourquoi, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier plié [« en boule » ?] dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom [virgule] ici.
— Moi [VIRGULE] c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez bien [naturel ?] pourquoi, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
— Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
— Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
OK.
Sans bras, ni jambes. Humour noir.
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
— Faso, on m'appelle Faso. Avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
— Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
— Ou pas, rétorqua Faso.
Il y avait une coquille (majuscule) donc je l'ai repostée.
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