vendredi 18 juillet 2014

Projet Élise 3 – phrases 131-146

¿O no? —Una corriente helada, húmeda corrió por la espina dorsal de Zebrel y anidó en la nuca.
Él quiere decir —susurró el de la derecha, y había una pizca de sádico placer en su tono— que verá en el supuesto caso de que le hayan dejado los ojos en su lugar. A veces remueven los ojos, así como lo oye. Si se los sacaron no verá, así de simple. Más claro, échele agua. Soy Killer.  
No es cierto —dijo Faso—. Ya no hay ciegos, ni mancos. Los hermanos se hacen cargo. Las armaduras suplen cualquier carencia. ¡Lo que avanzó la tecnología! Se puede ver sin ojos y hablar sin lengua.
¿De qué hablan? —Zebrel no podía determinar si los hombres hablaban en serio o sólo se estaban mofando de él.
Ya se va a enterar —dijo Killer.
Ya se va a enterar —dijo Faso.

Una picadura en la nuca y el relámpago de dolor apagó la conciencia de Zebrel.

Traduction temporaire :

— Ou pas ? Une décharge glacée, humide, courut le long de la colonne vertébrale de Zebrel et se nicha dans sa nuque.
— Il veut dire que vous verrez, à supposer qu'ils aient laissé vos yeux à leur place, susurra celui de droite, une pointe de plaisir sadique dans la voix. Parfois, ils prélèvent les yeux, vous avez bien entendu. S'ils vous les ont retirés, vous ne verrez pas, ça n'est pas plus compliqué que cela. Clair comme de l'eau de roche. Je suis Killer.
— Faux, contesta Faso. Il n'y a plus d'aveugles, ni de manchots. Les frères s'en chargent. Les armures compensent n'importe quelle déficience. Comme la technologie a progressé ! On peut voir sans yeux et parler sans langue.
— Mais qu'est-ce que vous racontez ?
Zebrel ne parvenait pas à déterminer si ces hommes étaient sérieux ou s'ils se moquaient juste de lui.
— Il va finir par s'en rendre compte, dit Killer.
— Il va finir par s'en rendre compte, répéta Faso.
il sentit une piqûre dans la nuque, puis l'éclair de douleur éteignit la conscience de Zebrel.

4 commentaires:

Unknown a dit…

— Ou pas ? Une décharge glacée, humide, courut le long de la colonne vertébrale de Zebrel et se nicha dans sa nuque.
— Il veut dire que vous verrez, si on suppose qu'ils ont laissé vos yeux à leur place, susurra celui de droite, une pointe de plaisir sadique dans la voix. Parfois, ils enlèvent les yeux, vous avez bien entendu. S'ils vous les ont enlevés, vous ne verrez pas, c'est aussi simple que ça. Clair comme de l'eau de roche. Je suis Killer.
— C'est pas vrai, ajouta Faso. Il n'y a plus d'aveugles, ni de manchots. Les frères s'en chargent. Les armures remédient à n'importe quelle déficience. Comme la technologie a progressé ! On peut voir sans yeux et parler sans langue.
— Mais qu'est-ce que vous racontez ? Zebrel ne parvenait pas à déterminer si ces hommes étaient sérieux ou s'ils se moquaient juste de lui.
— Il va s'en rendre compte maintenant, dit Killer.
— Il va s'en rendre compte maintenant, répéta Faso.
Une piqûre dans la nuque et l'éclair de douleur éteignit la conscience de Zebrel.

Tradabordo a dit…

— Ou pas ? Une décharge glacée, humide, courut le long de la colonne vertébrale de Zebrel et se nicha dans sa nuque.
— Il veut dire que vous verrez, si on suppose [« à supposer » ? Le cas échéant, il faudrait adapter le verbe] qu'ils ont laissé vos yeux à leur [ou « en » ? J'hésite] place, susurra celui de droite, une pointe de plaisir sadique dans la voix. Parfois, ils enlèvent [« prélèvent » – pas plus flippant] les yeux, vous avez bien entendu [ou un truc du genre : « c'est comme je vous le dit » ?]. S'ils vous les ont enlevés [« retirés » ?], vous ne verrez pas, c'est aussi simple que ça [ou « ça n'est pas plus compliqué que cela » ? Ça dépend des changements que tu auras fait ou pas]. Clair comme de l'eau de roche. Je suis Killer.
— C'est [beaucoup de « c'est » dans ce dialogue // fais un peu de ménage] pas vrai, ajouta [peu adapté à sa prise de parole] Faso. Il n'y a plus d'aveugles, ni de manchots. Les frères s'en chargent. Les armures remédient à [« compensent » ?] n'importe quelle déficience. Comme la technologie a progressé ! On peut voir sans yeux et parler sans langue.
— Mais qu'est-ce que vous racontez ?
Zebrel ne parvenait pas à déterminer si ces hommes étaient sérieux ou s'ils se moquaient juste de lui.
— Il va s'en rendre compte maintenant [naturel ?], dit Killer.
— Il va s'en rendre compte maintenant, répéta Faso.
Une piqûre dans la nuque et [bizarre] l'éclair de douleur éteignit la conscience de Zebrel.

Unknown a dit…

— Ou pas ? Une décharge glacée, humide, courut le long de la colonne vertébrale de Zebrel et se nicha dans sa nuque.
— Il veut dire que vous verrez, à supposer qu'ils aient laissé vos yeux à leur place, susurra celui de droite, une pointe de plaisir sadique dans la voix. Parfois, ils prélèvent les yeux, vous avez bien entendu. S'ils vous les ont retirés, vous ne verrez pas, ça n'est pas plus compliqué que cela. Clair comme de l'eau de roche. Je suis Killer.
— Faux, contesta Faso. Il n'y a plus d'aveugles, ni de manchots. Les frères s'en chargent. Les armures compensent n'importe quelle déficience. Comme la technologie a progressé ! On peut voir sans yeux et parler sans langue.
— Mais qu'est-ce que vous racontez ?
Zebrel ne parvenait pas à déterminer si ces hommes étaient sérieux ou s'ils se moquaient juste de lui.
— Il va finir par s'en rendre compte, dit Killer.
— Il va finir par s'en rendre compte, répéta Faso.
il sentit une piqûre dans la nuque, puis l'éclair de douleur éteignit la conscience de Zebrel.


J'ai laissé "vous avez bien entendu" pour éviter d'ajouter un "c'est" et de répéter "dire".

Tradabordo a dit…

— Ou pas ? Une décharge glacée, humide, courut le long de la colonne vertébrale de Zebrel et se nicha dans sa nuque.
— Il veut dire que vous verrez, à supposer qu'ils aient laissé vos yeux à leur place, susurra celui de droite, une pointe de plaisir sadique dans la voix. Parfois, ils prélèvent les yeux, vous avez bien entendu. S'ils vous les ont retirés, vous ne verrez pas, ça n'est pas plus compliqué que cela. Clair comme de l'eau de roche. Je suis Killer.
— Faux, contesta Faso. Il n'y a plus d'aveugles, ni de manchots. Les frères s'en chargent. Les armures compensent n'importe quelle déficience. Comme la technologie a progressé ! On peut voir sans yeux et parler sans langue.
— Mais qu'est-ce que vous racontez ?
Zebrel ne parvenait pas à déterminer si ces hommes étaient sérieux ou s'ils se moquaient juste de lui.
— Il va finir par s'en rendre compte, dit Killer.
— Il va finir par s'en rendre compte, répéta Faso.
il sentit une piqûre dans la nuque, puis l'éclair de douleur éteignit la conscience de Zebrel.

OK.