lundi 7 juillet 2014

Projet Émeline 2 – phrases 46-47

Una vez lejos de las inmediaciones de la iglesia y de los extranjeros, aligeraba sus vestimentas y paseaba como cualquiera de sus amigas. Los arguescianos se acostumbraron a vivir entre lágrimas en medio de risas, de discusiones, de pedidas de mano, de negociaciones, de juegos, de brindis, de la vida cotidiana.

Traduction temporaire :
Une fois loin de l'église et des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

16 commentaires:

Unknown a dit…

Une fois loin des abords de l’église et des étrangers, elle allégeait son habillement et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre parmi les larmes au milieu des rires, des discussions, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l’église et des étrangers [tu ne crois pas qu'il vaudrait mieux décomposer – c'est un peu bizarre « loin des abords des étrangers », non ?], elle allégeait son habillement et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre parmi les larmes au milieu des rires, des discussions, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Unknown a dit…

Une fois loin des abords de l’église et donc des étrangers, elle allégeait son habillement et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre parmi les larmes au milieu des rires, des discussions, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l’église et donc des étrangers, elle allégeait [naturel dans ce contexte ?] son habillement [« tenue » ?] et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre parmi les larmes au milieu des rires [relis-toi], des discussions, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle simplifiait sa tenue et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des discussions, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle simplifiait [bof… À mon avis, tu devrais carrément réécrire, pour ne garder que l'idée] sa tenue et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des discussions [sûre ici ? Cf unilingue], des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une épaisseur et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une épaisseur [il faut quand même préciser de quoi il s'agit…] et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une épaisseur à sa tenue et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une épaisseur à sa tenue [« lui enlevait une épaisseur / couche de vêtements » ?] et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin des abords de l'église et à l'écart [supprime l'ajout, en fait] des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Justine a dit…

Une fois loin de l'église et des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Une fois loin de l'église et des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

OK.

Tradabordo a dit…

Une fois loin de l'église et des étrangers, elle enlevait une couche de vêtements et se promenait comme n’importe laquelle de ses amies. Les Argescains s’habituèrent à vivre au milieu des larmes, des rires, des débats, des demandes en mariage, des négociations, des jeux, des toasts, de la vie quotidienne.

OK.