mardi 15 juillet 2014

Projet Hélène 2 – phrase 75-77

Se lo hubiera podido decir toda la noche porque era cierto, porque se lo merecía, porque, sin duda, así lo habría querido mi padre. Lo llevé a uno de los asientos en el corredor y, ayudado por mi brazo, consiguió sentarse. Cogí su bastón y lo apoyé contra la tapia.

Traduction temporaire :
J’aurais pu le lui répéter toute la nuit, parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce que sans doute mon père l’aurait-t-il voulu ainsi. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges dans le couloir et, avec l'aide de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posai contre le mur.

6 commentaires:

Hélène a dit…

J’aurais pu le lui dire toute la nuit parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce qu'ainsi, sans doute, l’aurait voulu mon père. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges qui se trouvait dans le couloir et, aidé de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posa contre le mur.

Tradabordo a dit…

J’aurais pu le lui dire [« répéter »] toute la nuit [virgule] parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce qu'ainsi [place-le après], sans doute [avance-le], l’aurait[cheville : « t-t-il »] voulu mon père. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges qui se trouvait [grammaire + de toute façon le verbe est-il nécessaire ?] dans le couloir et, aidé de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posa [grammaire ! Attention au passé simple] contre le mur.

Hélène a dit…

J’aurais pu le lui répéter toute la nuit, parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce que sans doute mon père l’aurait-t-il voulu ainsi. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges dans le couloir et, aidé de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posai contre le mur.



Tradabordo a dit…

J’aurais pu le lui répéter toute la nuit, parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce que sans doute mon père l’aurait-t-il voulu ainsi. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges dans le couloir et, aidé [ou « avec l'aide de » ? J'hésite…] de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posai contre le mur.

Hélène a dit…

J’aurais pu le lui répéter toute la nuit, parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce que sans doute mon père l’aurait-t-il voulu ainsi. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges dans le couloir et, avec l'aide de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posai contre le mur.

Tradabordo a dit…

J’aurais pu le lui répéter toute la nuit, parce que c’était la vérité, parce qu’il le méritait, parce que sans doute mon père l’aurait-t-il voulu ainsi. Je le conduisis jusqu’à l’un des sièges dans le couloir et, avec l'aide de mon bras, il parvint à s’asseoir. Je pris sa canne et la posai contre le mur.

OK.