jeudi 10 juillet 2014

Projet Hélène 2 – phrases 71-74

Negó con la cabeza, pero le cogí el brazo con suavidad y le agradecí nuevamente. Me sentía extraño sabiéndome más grande y fornido que él, pese a que había crecido a su lado y había pasado casi toda mi vida admirando su corpulencia de roble. Su brazo, entre mis dedos, era como un jarrón delicado que temía lastimar. Así que insistí.

Traduction temporaire :
Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Me voyant plus grand et plus robuste que lui, alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Il remua la tête en signe de refus, mais je lui pris quand même [cheville ?] doucement le bras et le remercia de nouveau. Je me sentais bizarre car je savais que j’étais plus grand et plus robuste que lui alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Tradabordo a dit…

Il remua la tête en signe de refus [ce sera plus simple avec « fit non de la tête »], mais je lui pris quand même [cheville ? non] doucement le bras et le remercia [grammaire ! Pense à te relire avant de publier ;-)] de nouveau. Je me sentais bizarre car je savais que j’étais plus grand et plus robuste que lui alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Hélène a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Je me sentais bizarre car je savais que j’étais plus grand et plus robuste que lui alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc

Tradabordo a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Je me sentais bizarre car [supprime et commence par ce qui vient… Ce sera sans doute plus fluide] je savais que j’étais plus grand et plus robuste que lui alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Hélène a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Sachant que j’étais plus grand et plus robuste que lui alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Tradabordo a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Sachant que j’étais plus grand et plus robuste que lui [virgule ?] alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Hélène a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Sachant que j’étais plus grand et plus robuste que lui, alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc

Tradabordo a dit…

Ça fait deux fois que je remets le point final. N'oublie pas de bien vérifier que tu as tout quand tu fais tes copier-coller.

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Sachant que j’étais [« Me voyant »] plus grand et plus robuste que lui, alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Hélène a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Me voyant plus grand et plus robuste que lui, alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

Tradabordo a dit…

Il fit non de la tête, mais je lui pris doucement le bras et le remerciai de nouveau. Me voyant plus grand et plus robuste que lui, alors que j’avais grandi à ses côtés et passé presque toute ma vie à admirer sa corpulence massive, je me sentais bizarre. Entre mes doigts, son bras était comme un vase fragile que je craignais de casser. J’insistai donc.

OK.