–Tu padre era un hombre bueno –dijo al rato, cuando ya no supe preguntarle más sobre su vida. Ahora sabía que estaba retirado, que vivía en una casa de inquilinos pudientes, y que las enfermeras ya no creían necesario estimular su autonomía ni sus ganas de sentirse joven y útil otra vez.
Traduction temporaire :
— Ton père était un homme bon, dit-il au bout d'un moment, lorsque je n’eus plus aucune question à lui poser sur sa vie.
Maintenant, je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile
— Ton père était un homme bon, dit-il au bout d'un moment, lorsque je n’eus plus aucune question à lui poser sur sa vie.
Maintenant, je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile
4 commentaires:
— Ton père était un homme bon, dit-il ensuite, lorsque je n’eus plus rien à lui demander sur sa vie.
Désormais, je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile.
— Ton père était un homme bon, dit-il ensuite [« au bout d'un moment » ?], lorsque je n’eus plus rien à lui demander [pas mieux avec « questions » ?] sur sa vie.
Désormais [pas vraiment adapté ici], je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile.
— Ton père était un homme bon, dit-il au bout d'un moment, lorsque je n’eus plus aucune question à lui poser sur sa vie.
Maintenant, je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile
Attention, tu oublies souvent de copier le point final.
— Ton père était un homme bon, dit-il au bout d'un moment, lorsque je n’eus plus aucune question à lui poser sur sa vie.
Maintenant, je savais qu’il était à la retraite, qu’il vivait dans une maison de soins pour personnes fortunées, et que les infirmières ne croyaient plus nécessaire de stimuler son autonomie, ni son envie de se sentir de nouveau jeune et utile.
OK
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