Paró los ojos, estiró las antenas, plegó las alas sedosas y revoloteó en cuadro. Los visos de mariposa, aún intactos, le rebatieron cualquier duda, ante la novedad de las suplencias. Sobre todo, le preocupaba que alguien pudiera producir las mismas palpitaciones del contento.
Traduction temporaire :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Avoir toujours l'air d'un papillon balaya le moindre de ses doutes face à ses nouveaux remplaçants. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Avoir toujours l'air d'un papillon balaya le moindre de ses doutes face à ses nouveaux remplaçants. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
16 commentaires:
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et virevolta en formant des carrés. Ses airs de papillon, encore intacts, lui ôtèrent tout doute, devant la nouveauté des suppléances. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie.
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et virevolta en formant des carrés [sûre ?]. Ses airs [bof] de papillon, encore intacts, lui ôtèrent tout doute, devant la nouveauté des suppléances [????]. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie.
Je continue de chercher pour « revoloteó en cuadro »
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et virevolta en formant des carrés. Ses apparences de papillon, encore intactes, lui ôtèrent tout doute, devant la nouveauté des substitutions. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie.
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et virevolta en formant des carrés. Ses apparences [ça me semble vraiment très bancale] de papillon, encore intactes, lui ôtèrent tout doute, devant la nouveauté des substitutions [pas du tout clair]. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie.
Cette phrase est vraiment à retravailler. Manon, un peu d'aide ?
Voilà ce qui m'a semblé pertinent pour « cuadro » : «Espectáculo de la naturaleza, o agrupación de personas o cosas, que se ofrece a la vista y es capaz de conmover o aterrorizar el ánimo.»
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Qu'il ait toujours l'air d'un papillon balaya ses doutes quant à la primeur de ses remplaçants. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est de quoi il ne doute plus : que comprenez-vous ? Il ne doute pas d'avoir des substituts ou il ne doute pas de lui ?
Sinon, je suis d'accord pour « numéro de voltige », et en attendant vos avis, je propose :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Qu'il ait toujours l'air d'un papillon balaya ses doutes devant/quant à l'apparition de ses substituts. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Justine, que penses-tu du commentaire de Manon ?
Moi, j'aurais plutôt parlé de la « primeur de ses substituts », dans le sens où même s'il sait qu'il en a, il se sent confiant et ne doute pas de pouvoir, malgré tout, rester sur le devant de la scène.
Bonjour à toutes les deux, et désolée pour cette absence, je n'ai pas eu accès à internet comme je l'aurais voulu... (mais je rentre bientôt en France, ce sera plus simple !)
Pour le sens, je suis d'accord, mais je trouve que "primeur" est confus, mais c'est peut-être un manque d'habitude de ce mot, qu'en penses-tu Caroline ?
Remettez-moi une bonne version ; j'ai un peu oublié tout ça.
Je te copie ci-dessous nos deux propositions :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Qu'il ait toujours l'air d'un papillon balaya ses doutes devant/quant à l'apparition de ses substituts. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Ou la proposition de Justine avec « primeur » :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Qu'il ait toujours l'air d'un papillon balaya ses doutes quant à la primeur de ses substituts. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Je ne aucune des deux variantes très claires. Je pense qu'il faut réécrire ce petit bout, pour ne retenir que le sens.
Alors voici ce que je propose :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Avoir toujours l'air d'un papillon balaya ses moindres doutes face aux nouveaux substituts. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Justine, ton avis ?
Je suis plutôt assez d'accord avec ta proposition Manon, mais je crois que pour une personnification encore plus forte de Café, je dirais « à ses nouveaux remplaçants », ce qui donnerait :
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Avoir toujours l'air d'un papillon balaya le moindre de ses doutes face à ses nouveaux remplaçants. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
Il immobilisa ses yeux, étira ses antennes, plia ses ailes soyeuses et se lança dans un numéro de voltige. Avoir toujours l'air d'un papillon balaya le moindre de ses doutes face à ses nouveaux remplaçants. Ce qui le préoccupait surtout, c’était que quelqu’un puisse donner les mêmes palpitations de joie que lui.
OK !!!!
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