lundi 7 juillet 2014

Projet Sonita 16 – phrases 5-6

Hacía al menos seis meses que no pisaba el caserón de la calle Solís. No iba a aquella casa ni siquiera los domingos ya que mamá se quejaba de que nadie la ayudaba a preparar el almuerzo y era yo el que debía llevar la comida comprada en la rotisería del barrio.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

18 commentaires:

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la bâtisse de la rue Solís. Je n'allais plus dans cette maison même pas les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la bâtisse [ou « demeure » ?] de la rue [« Calle »] Solís. Je n'allais plus dans cette maison même pas [charabia :-)] les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'allais plus dans cette maison ni les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'allais plus dans cette maison [ou en supprimant et avec le « y » ?] ni les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allá is plus ni les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Désolée, erreur de frappe :)

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais plus ni les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allá is [?] plus ni les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais plus ni [ça ne fonctionne pas avec « ni », qui suppose « ni… ni… »] les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais plus même pas les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais plus même pas [charabia ; relis-toi… Attention, tu es dans une phase de déconcentration // prends le temps…] les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais même plus les dimanches puisque ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Je n'y allais même plus les dimanches [voyons ce que ça donne en mettant ça à la fin] puisque [supprime] ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignait que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier alors, je n'y allais même plus les dimanches.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignait [change le mode pour créer le lien logique contenu en espagnol] que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner et c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier alors, je n'y allais même plus les dimanches.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignant que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner, c'était moi qui devait apporter le repas acheté dans la rôtisserie du quartier alors, je n'y allais même plus les dimanches.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignant que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner, c'était moi qui devait apporter le repas [virgule] acheté dans la rôtisserie du quartier [virgule ou point-virgule ?] alors [« du coup » ?], je n'y allais même plus les dimanches.

Sonita a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignant que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner, c'était moi qui devait apporter le repas, acheté dans la rôtisserie du quartier ; du coup, je n'y allais même plus les dimanches.

Tradabordo a dit…

Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas mis un pied dans la demeure de la Calle Solís. Ma mère se plaignant que personne ne l'aidait à préparer le déjeuner, c'était moi qui devait apporter le repas, acheté dans la rôtisserie du quartier ; du coup, je n'y allais même plus le dimanche.

OK.