¿Qué le ocurría conmigo? ¿Por qué me pedía a mí que me secara? En tanto me frotaba con la toalla, ya desnudo, la Zurda contemplaba a unas gaviotas sobrevolando el océano. (Años más tarde, en un libro, descubrí el erguido perfil de un mascarón de proa: me recordaría su postura de esos momentos).
—¿Estás con frío? —pregunté.
Ella contestó, distraída:
—Sí, tengo frío... —y giró sobre sus talones—. Lo tengo desde hace unas semanas... ¿Crees que estoy enferma?
—No lo sé —tartamudeé.
—Debo estarlo —dijo—, porque no es normal. Hace un calor horrible para que yo sienta este frío tan raro.
Traduction temporaire :
Qu'est-ce qu'elle avait avec moi ? Pourquoi me demandait-elle de me sécher, à moi ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, à présent nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa position à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
6 commentaires:
Quel était son problème avec moi ? Pourquoi, à moi, me demandait-elle de me sécher ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, déjà nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa posture à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je. Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid si bizarre.
Quel était son problème [peut-être un peu surtraduit] avec moi ? Pourquoi, à moi [nécessaire ? J'hésite], me demandait-elle de me sécher ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, déjà nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa posture [ou « position » ? Comme tu veux] à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid si bizarre [les quelques mots de la fin manquent de fluidité].
Qu'est-ce qu'elle avait avec moi ? Pourquoi, à moi [je le laisserais, il pense vraiment qu'il a un souci par rapport aux autres], me demandait-elle de me sécher ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, déjà nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa position à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
Qu'est-ce qu'elle avait avec moi ? Pourquoi, à moi [ok, mais placé après ? Essaie], me demandait-elle de me sécher ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, déjà [nécessaire + ou : « à présent » ?] nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa position à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
Qu'est-ce qu'elle avait avec moi ? Pourquoi me demandait-elle de me sécher, à moi ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, à présent nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa position à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
Qu'est-ce qu'elle avait avec moi ? Pourquoi me demandait-elle de me sécher, à moi ? Pendant que je m'essuyais avec la serviette, à présent nu, la Gauchère contemplait des mouettes qui survolaient l'océan. (Des années plus tard, je découvris dans un livre la silhouette dressée d'une figure de proue : elle me rappellerait sa position à ce moment-là.)
— Tu as froid ? demandai-je.
Elle répondit, distraite :
— Oui, j'ai froid… puis elle tourna les talons. Cela fait des semaines que j'ai froid... Tu crois que je suis malade ?
— Je l'ignore, bégayai-je.
— Probablement, ajouta-t-elle, parce que ce n'est pas normal. Il fait une chaleur trop horrible pour que je ressente ce froid étrange.
OK.
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