jeudi 4 septembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 113-116

Sabía que no se acostumbraba a ser tratado así: él, que siempre había estado del otro lado. Lo tomé del brazo y caminamos hacia el ataúd. Pensé que sería un trayecto inútil porque tampoco podría verlo; pero insistió tanto en llegar, y luego en darle el pésame a mi mujer y a mi pequeño hijo, que no conseguí negarme. Cuando por fin estuvimos junto a mi padre muerto, sentí que Guiraldes se apretaba más fuerte de mi brazo y que su corazón latía acelerado.

Traduction temporaire :
Je savais qu’il ne s'habituait pas à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que c'était inutile, parce qu'il ne parviendrait pas à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis Guiraldes serrer plus fermement mon bras et son cœur battre la chamade.

9 commentaires:

Hélène a dit…

Je savais qu’il ne parvenait pas à se faire à ces égards. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous marchâmes vers le cercueil. Je pensai que le trajet serait inutile car il ne parviendrait pas non plus à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre, et présenter ensuite ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis que Guiraldes serrait plus fermement mon bras et que son cœur battait la chamade.

Tradabordo a dit…

Je savais qu’il ne parvenait pas à se faire [dommage que tu te sois éloignée de la V.O. ; on aurait vité un « faire »] à ces [« de tels »] égards [mais idem, pas moyen d'être plus près de la V.O. ?]. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous marchâmes [« avancer » ?] vers le cercueil. Je pensai que le trajet [pas un peu trop dans ce contexte ?] serait inutile [virgule] car [« parce que » ?] il ne parviendrait pas non plus à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre, [virgule nécessaire ?] et présenter ensuite [avance-le] ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand [virgule] enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis que Guiraldes serrait plus fermement mon bras et que son cœur battait la chamade.

Tradabordo a dit…

Je savais qu’il ne parvenait pas à se faire [dommage que tu te sois éloignée de la V.O. ; on aurait vité un « faire »] à ces [« de tels »] égards [mais idem, pas moyen d'être plus près de la V.O. ?]. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous marchâmes [« avancer » ?] vers le cercueil. Je pensai que le trajet [pas un peu trop dans ce contexte ?] serait inutile [virgule] car [« parce que » ?] il ne parviendrait pas non plus à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre, [virgule nécessaire ?] et présenter ensuite [avance-le] ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand [virgule] enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis que Guiraldes serrait plus fermement mon bras et que son cœur battait la chamade.

Hélène a dit…

Je savais qu’il ne parvenait pas à s'habituer à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que le chemin s'avèrerait inutile, parce qu'il ne parviendrait pas non plus à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis que Guiraldes serrait plus fermement mon bras et que son cœur battait la chamade

Tradabordo a dit…

Je savais qu’il ne parvenait pas à [nécessaire ?] s'habituer à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que le chemin [« c'était », tout simplement ?] s'avèrerait inutile, parce qu'il ne parviendrait pas non plus à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis que [nécessaire de passer par « que » ?] Guiraldes serrait plus fermement mon bras et que son cœur battait la chamade [point]

Hélène a dit…

Je savais qu’il ne s'habituait pas à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que c'était inutile, parce qu'il ne parviendrait pas non plus [ce "tampoco" m'embête un peu; j'ai compris que cette négation s'appliquait à "podría", d'où la répétition que j'avais introduite dans ma première version de "parvenir à"] à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis Guiraldes serrer plus fermement mon bras et son cœur battre la chamade.

Tradabordo a dit…

Je savais qu’il ne s'habituait pas à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que c'était inutile, parce qu'il ne parviendrait pas non plus [ce "tampoco" m'embête un peu; j'ai compris que cette négation s'appliquait à "podría", d'où la répétition que j'avais introduite dans ma première version de "parvenir à" // supprime ; de toute façon, ça n'apporte rien] à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis Guiraldes serrer plus fermement mon bras et son cœur battre la chamade.

Hélène a dit…

Je savais qu’il ne s'habituait pas à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que c'était inutile, parce qu'il ne parviendrait pas à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis Guiraldes serrer plus fermement mon bras et son cœur battre la chamade.

Tradabordo a dit…

Je savais qu’il ne s'habituait pas à être traité de la sorte. Lui, qui avait toujours été de l’autre côté. Je le pris par le bras et nous avançâmes vers le cercueil. Je pensai que c'était inutile, parce qu'il ne parviendrait pas à le voir ; mais il insista tellement pour s’y rendre et ensuite présenter ses condoléances à ma femme et à mon petit garçon, que je ne pus refuser. Quand, enfin, nous fûmes à côté de mon défunt père, je sentis Guiraldes serrer plus fermement mon bras et son cœur battre la chamade.

OK.