jeudi 4 septembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 75-78

Su esposo, uno de los bomberos de la Estación Principal, fue a apagar el incendio que se produjo el día anterior cerca de las once de la noche en la planta. Aunque no se encontraba en la estación, una llamada telefónica lo levantó de la cama. Zhulka lo esperaría despierta. Eso fue lo último que le dijo antes de verlo salir por la puerta de la casa. Lo que siguió fue la angustia. Los ojos cansados, los brazos recogidos sobre la mesa esperando un golpe a la puerta, una llamada telefónica.

Traduction temporaire :
Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique l'avait fait sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de se rendormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui avait adressés lorsqu'il avait franchi le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré la veille, vers onze heures du soir, dans la centrale. D’astreinte [C'est ce que veut dire ce début de phrase, mais est-on trop loin de la VO ? ] à ce moment-là [cheville ?], un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait éveillée. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa avant de le voir sortir par la porte de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre que l’on frappe à la porte, que l’on appelle.

Tradabordo a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré la veille, vers onze heures du soir, dans la centrale [avance-le ; ça évitera ce rythme saccadé]. D’astreinte [C'est ce que veut dire ce début de phrase, mais est-on trop loin de la VO ? // oui, trop loin… mais attends, est-ce qu'il ne dit pas le contraire, qu'il n'y était pas ?] à ce moment-là [cheville ?], un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait éveillée. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa avant de le voir sortir par la porte de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre que l’on frappe à la porte, que l’on appelle.

Hélène a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas à la caserne [C'est ce que veut dire ce début de phrase, mais est-on trop loin de la VO ? // oui, trop loin… mais attends, est-ce qu'il ne dit pas le contraire, qu'il n'y était pas ?// Être d'astreinte, c'est être chez soi, mais disponible pour le travail dans le cas où on est appelé en renfort, non ?. Bref, je change et me rapproche de la VO], un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait éveillée. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa avant de le voir sortir par la porte de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre que l’on frappe à la porte, que l’on appelle.

Tradabordo a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas à la caserne [« sur place » ?], un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait éveillée [naturel ?]. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa avant de le voir sortir par [naturel / simplifie ce fragment] la porte de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre que l’on frappe à la porte [essaie de ne pas répéter], que l’on [« qu'on »] appelle.

Hélène a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de s'endormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa lorsqu'il franchit le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

Tradabordo a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de s'endormir [ou « de se rendormir » ?]. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa lorsqu'il franchit le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

Hélène a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique le fit sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de se rendormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa lorsqu'il franchit le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

Tradabordo a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique le fit sortir [ou PQP ? Je te laisse trancher] de son lit. Zhulka l’attendrait avant de se rendormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui adressa [idem ?] lorsqu'il franchit [idem ?]le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

Hélène a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique l'avait fait sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de se rendormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui avait adressés lorsqu'il avait franchi le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

Tradabordo a dit…

Son mari, l’un des pompiers de la Caserne Principale, alla éteindre l’incendie qui s’était déclaré dans la centrale la veille, vers onze heures du soir. Bien qu'il ne se trouvât pas sur place, un appel téléphonique l'avait fait sortir de son lit. Zhulka l’attendrait avant de se rendormir. Ce sont les derniers mots qu’elle lui avait adressés lorsqu'il avait franchi le seuil de la maison. L’angoisse vint ensuite. Les yeux fatigués, les bras sur la table, à attendre qu’on frappe à la porte, qu'on appelle.

OK.