dimanche 7 septembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 79-88

Todo se iba volviendo silencio y luces en el cielo mientras avanzaba la noche. Al otro día, el amanecer tardó en llegar. Una nube oscura cubría a lo lejos la planta. Las radios dejaron de transmitir todo el lunes. Zhulka no quiso enviar a sus hijos al colegio esa mañana. Mientras que Zoya no regresase, ella no los dejaría solos ni un instante. Pero cuando los militares llegaron a Pripyat la mañana del lunes, Zhulka confirmó su temor. Ese incendio no fue como otros. Era sólo cuestión de tiempo para que dieran la orden de evacuar la ciudad. Dejarlo todo. 

Traduction temporaire :
À mesure que la nuit avançait, le ciel devenait silence et lumière. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un épais nuage planait au-dessus de la centrale. Les radios cessèrent d'émettre toute la journée du lundi. Ce matin-là, Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école. Tant que Zoya ne rentrerait pas, elle refuserait de les laisser un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat, le lundi matin, elle vit ses craintes confirmées. Cet incendie-là n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout quitter.

6 commentaires:

Hélène a dit…

À mesure que la nuit avançait, tout se faisait silence et lumière dans le ciel. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un nuage obscur recouvrait la centrale. Les radios cessèrent de retransmettre toute la journée du lundi. Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école ce matin-là. Tant que Zoya ne rentrait pas, elle ne les laisserait pas un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat le lundi matin, ses craintes furent confirmées. Cet incendie n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout laisser.

Tradabordo a dit…

À mesure que la nuit avançait, tout se faisait silence et lumière dans le ciel [avance-le]. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un nuage obscur [bof] recouvrait [« planait au-dessus de » ?] la centrale. Les radios cessèrent de retransmettre [« d'émettre »] toute la journée du lundi. Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école ce matin-là [ou au début ? Essaie et vois ce qui est mieux]. Tant que Zoya ne rentrait pas, elle ne les laisserait pas un seul instant [naturel ?]. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat [virgule] le lundi matin, ses craintes furent confirmées. Cet incendie n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout laisser.

Hélène a dit…

À mesure que la nuit avançait, tout, dans le ciel, se faisait silence et lumière. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un épais nuage planait au-dessus de la centrale. Les radios cessèrent d'émettre toute la journée du lundi. Ce matin-là, Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école. Tant que Zoya ne rentrait pas, elle refuserait de les quitter un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat, le lundi matin, ses craintes furent confirmées. Cet incendie n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout laisser.

Tradabordo a dit…

À mesure que la nuit avançait, tout, [j'hésite sur cette virgule] dans le ciel, se faisait [dommage de mettre un verbe « faire » quand ça n'est pas nécessaire… D'autant que là, tu te compliques tes futures relectures] silence et lumière. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un épais nuage planait au-dessus de la centrale. Les radios cessèrent d'émettre toute [tu l'as déjà au début ; vois quand même si tu ne peux faire en supprimer / contourner un] la journée du lundi. Ce matin-là, Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école. Tant que Zoya ne rentrait [« rentrerait » ?] pas, elle refuserait de les quitter un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat, le lundi matin, ses craintes furent confirmées [ou : « elle vit ses craintes confirmées » ?]. Cet incendie [« -là » ?] n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout [X3 rien que dans ce fragment] laisser.

Hélène a dit…

À mesure que la nuit avançait, le ciel devenait silence et lumière. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un épais nuage planait au-dessus de la centrale. Les radios cessèrent d'émettre toute la journée du lundi. Ce matin-là, Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école. Tant que Zoya ne rentrerait pas, elle refuserait de les laisser un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat, le lundi matin, elle vit ses craintes confirmées. Cet incendie-là n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout quitter.

Tradabordo a dit…

À mesure que la nuit avançait, le ciel devenait silence et lumière. Le lendemain, le jour tarda à se lever. Au loin, un épais nuage planait au-dessus de la centrale. Les radios cessèrent d'émettre toute la journée du lundi. Ce matin-là, Zhulka n’avait pas voulu envoyer ses enfants à l’école. Tant que Zoya ne rentrerait pas, elle refuserait de les laisser un seul instant. Lorsque les militaires arrivèrent à Pripyat, le lundi matin, elle vit ses craintes confirmées. Cet incendie-là n’était pas comme les autres. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne donne l’ordre d’évacuer la ville. Tout quitter.

OK.