Apenas me llegaban ahora noticias de mi familia. Desde la muerte de mi padre, mi madre había decidido no salir de la cama. En mensajes lacónicos mi hermana me daba los partes del deterioro progresivo, de su descenso a los pañales, a las escaras, a la demencia senil, del tragicómico desfile de enfermeras, del goteo silencioso del último dinero familiar. Me había pedido que no volviera a verlas. No nos reconocerías, y tampoco a la casa. ¿Para qué vas a volver?
Traduction temporaire :
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient leurs maigres ressources. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir ? Pour quoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient leurs maigres ressources. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir ? Pour quoi faire ?
14 commentaires:
À présent, j'avais très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de rester au lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me faisait part de son affaiblissement progressif, de sa descente vers l'utilisation des couches, des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, j'avais [« n'avais plus que »] très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de rester [plus fort avec une trad littérale] au lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me faisait part [il y a mieux ici] de son affaiblissement progressif, de sa descente vers l'utilisation [construction moyenne] des couches,
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais plus que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne pas sortir du lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me notifiait de son affaiblissement progressif, du déclin qui la poussa aux couches,
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais plus que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne pas sortir du [« plus quitter son »] lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me notifiait de [très mal dit] son affaiblissement progressif, du déclin qui la poussa aux couches [mal dit],
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur m'informait de son affaiblissement progressif, du déclin qui la poussa aux couches culottes,
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur m'informait [ou avec « tenir au courant » ?] de son affaiblissement progressif, du déclin qui la poussa [« contraignit à avoir recours »] aux couches culottes [vérifie le nom qu'on leur donne pour les vieux],
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adulte,
des scares, de la démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adulte [pluriel ? Je ne sais pas…], des scares [?], de la [possessif ?] démence sénile, du tragicomique défilé d'[possessif ?]infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des dernières ressources de la famille [la fin ne va pas].
Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux des maigres ressources de la famille.
Elle m'avait demandé de ne pas rentrer les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux [« par lequel s'écoulaient »] des maigres ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas rentrer [« venir »] les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pourquoi [en deux mots] faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient les maigres ressources de la famille. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, pour quoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient les maigres ressources de la famille [tu l'as au début]. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir, [point d'interrogation] pour quoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient leurs maigres ressources. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir ? Pour quoi faire ?
À présent, je n'avais que très peu de nouvelles de ma famille. Depuis la mort de mon père, ma mère avait décidé de ne plus quitter son lit. Dans des messages laconiques, ma sœur me tenait au courant de son affaiblissement progressif, du déclin qui la contraignit à avoir recours aux couches pour adultes, de ses escarres, de sa démence sénile, du tragicomique défilé d'infirmières, du goutte-à-goutte silencieux par lequel s'écoulaient leurs maigres ressources. Elle m'avait demandé de ne pas venir les voir. Tu ne nous reconnaîtrais pas, et la maison non plus. Revenir ? Pour quoi faire ?
OK.
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