Antes de hacerlo, tomo de un trago mi whisky y lleno de nuevo el enorme vaso. Bajo del carruaje con el whisky en la mano.
Allí está preparado el patíbulo y una masa que, por el aspecto procede de la Revolución Francesa, corea mi nombre. No siento miedo. Me acompaña la mujer. Antes de subir apuro el whisky y una vez arriba levanto los brazos para sentirme aclamado.
— ¿Su último deseo?
— Verte la cara, saber si me quieres.
Traduction temporaire :
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je sors de la voiture avec mon whisky à la main. L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, semble-t-il, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je sors de la voiture avec mon whisky à la main. L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, semble-t-il, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
8 commentaires:
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends de la voiture avec mon verre de whisky à la main.
Voilà l'échafaud préparé et une foule qui reprend mon nom en chœur. D'apparences, elle provient de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras comme pour me sentir acclamé.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends de la voiture avec mon verre [nécessaire ? Pas répété en V.O.] de whisky à la main.
Voilà [non… Il faut quand même un verbe] l'échafaud préparé [ou : « , prêt, » ?] et une foule qui reprend mon nom en chœur. D'apparences [très mal dit], elle provient de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras comme pour me sentir acclamé [mal dit].
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends de la voiture avec mon whisky à la main.
Voilà, l'échafaud est prêt et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, à première vue, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends de la voiture avec mon whisky à la main.
Voilà, l'échafaud [« L'échafaud est là, prêt, »] est prêt et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, à première vue [???], de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends de la voiture avec mon whisky à la main.
L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, selon les apparences, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je descends [ah zut, vous l'avez dans la phrase d'avant ; débrouillez-vous pour ne pas répéter] de la voiture avec mon whisky à la main.
L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, selon les apparences [un simple « semble-t-il » ?], de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je sors de la voiture avec mon whisky à la main.
L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, semble-t-il, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
Avant de descendre, je bois mon whisky d'un trait et remplis de nouveau l'énorme verre. Je sors de la voiture avec mon whisky à la main.
L'échafaud est là, prêt, et une foule, qui reprend mon nom en chœur, provient, semble-t-il, de la Révolution Française. Je n'ai pas peur. La femme m'accompagne. Avant de monter, je finis mon verre de whisky et, une fois en haut, lève les bras pour me faire acclamer.
— Votre dernier souhait ?
— Voir ton visage, savoir si tu m'aimes.
OK.
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